Deseos incontrolables | Mon Premier et Dernier Amour

《3》Oscar

Avant de vous raconter la fête où tout à commencé, ou du moin où tout à repris. Je vais vous expliquer pourquoi je ne voulais absolument pas voir cet homme.
Comme je vous l'ai dit, je le connais depuis toujours. Mon père est entré dans le gang des santos assez jeune. Le sien est simplement Ray Diaz. La famille Diaz est l'une des celles qui ont fondé le gang au côté de Lil Ricky el veterano ( le principal fondateur). Nos pères étaient de très bon amis, ils se considéraient comme de la famille.
Je passais la plus part de mon temps avec lui. On traînais ensemble avec Miguel alias sad eyes et Juliana. On allais ensemble à l'école. On a fait les 400 coups.

Quand oscar a eu 11 ans son père s'est fait enfermé. Il est rentré dans le gang lui aussi après ça. On a 2 ans d'écart donc j'avais seulement 9 ans. Malgré cela, j'ai était mature assez tôt, je suppose a cause de ma vie plutôt compliqué.
Je n'était évidement pas pour, mais je l'ai toujours soutenu.
Vers ses 14 ans il a commencé à non seulement faire partie des santos mais aussi travailler pour eux. Et pas seulement pour taguer des croix dans le quartier voisin. Il a commencé à se battre et vendre. Il est revenu plusieurs fois balafré. C'est moi qui le soignais et lui remonter le moral. Je ne cherche pas ici à dire qu'il me devait quelque chose.
Lui aussi a toujours était la pour moi. Lorsque mon père est mort, j'avais 13 ans , il a veillé à ce que je ne me renferme pas sur moi-même. Il a était une épaule sur laquel pleurer. On était simplement 2 adolescents avec une vie minable, on se comprenait.
Nos mères n'étaient pas vraiment présentes non plus. D'ailleurs c'est pour cela que César a était élevé principalement par Oscar et moi. Étant la plus pars du temps chez eux, lorsque oscar n'était pas là, je m'occupais de César.

Un matin d'été j'entends quelqu'un toquée à la porte. C'était ma tante. Elle m'a ordonné de faire mes valises. Je ne comprenais pas. Le loyer n'avait pas été payé depuis plusieurs mois, nous étions obligé de partir. Ma mère avait appelé sa sœur car elle ne savais plus quoi faire. Ma tante était donc venue me chercher pour vivre avec elle dans une grande ville à 4h d'ici. Elle plaça ma mère dans un centre de désintox.
Je ne voulais absolument pas partir. Mais au bout d'une heure de dispute j'ai finis par accepter. Je voulais d'abord dire au revoir à tous le monde mais elle a refusé.
En rangeant les affaires dans la voitures, j'ai croisé sad eyes. Je lui ai expliqué ce qu'il s'est passé. Il m'a rassuré et promis qu'il l'expliquerait à son tour aux autres et principalement à Oscar. Je me sentais extrêmement coupable de le laisser seul. Nous étions inséparables. Lorsque il n'arrivait pas à dormir, il venait toquer à la fenêtre de ma chambre. On parlé pendant des heures. Je ne savais pas s'il allait me pardonner d'être partie ...

Je suis restée pendant 1 ans et demi avec ma tante sans voir ni mes amis ni ma mère. Quand j'ai eu 16 ans et avec cela le permis et ma voiture. J'ai décidé de retourné à freeridge. J'avais enchaîné les petits boulots et mis de côté mon argent de poche. J'ai aussi utilisé une certaines somme d'argent que mon père m'avais laissé pour pouvoir re louer la maison de mon enfance. Ma tante n'était pas vraiment ravi mais m'a finalement laisser faire.
Lorsque je suis retourné à freeridge je me suis sentie revivre. J'ai d'abord vu Juliana elle m'a sauté dans les bras ... on est d'ailleurs tombé. Puis sad eyes, il m'a serré très fort. J'ai appris qu'ils s'étaient enfin mis ensemble. Ils se sont toujours plus l'un et l'autre.
Juste après j'ai vu monse jamal puis ruby et cesar. J'étais tellement heureuse de revoir ces gamins. Ils avaient 9 ans. Le soir même j'ai attendu Oscar devant chez lui. Il est revenu assez tard vers 2h du matin. Quand il m'a vu, il ne m'a pas reconnu de suite. Il faut dire que j'avais maintenant 16 ans et la puberté avait commencé un bon morceau de son travail.
" ivi eres tu ? (C'est toi ? ) "
Il s'est approché de moi.
Je me suis levé des escaliers et a mon tour je me suis avancée.
" si ... "
J'ai couru et l'ai serré dans les bras.
J'ai regardé son visage quand j'ai remarqué quelque choses vers le coin de son œil. J'ai fixé et plissé les yeux avant de comprendre que c'était une larme tatoué . Mes yeux de sont grands ouverts. Il m'a regardé tristement. On est rentré chez lui. Il m'a expliquer pourquoi il avait tué cette personne. C'était la première fois qu'il avais achevé entièrement quelqu'un. Apres ça j'ai changé de sujet, je voyais très bien que ça le gênais. Cette nuit là on a parlé jusqu'au lendemain. Lui parler et l'écouter me fesait un bien fou.

Quelque jours plus tard j'ai trouvé un travail dans une épicerie. Ma vie s'était calmé. J'étais plutôt heureuse, je vivais seul j'avais ma bande d'amis et assez d'argent pour vivre. Avec oscar les choses étaient devenu un poil bizzare. Je ne comprenais pas vraiment.

Et un jour à une fête chez lui. On a commencé à boire puis danser. De plus en plus serré. A un moment j'ai du utiliser la salle de bain parce que quelqu'un m'avais renverser son verre dessus. Je me suis rendu compte que mon haut blanc était maitenant complètement transparent. Je suis donc allé dans la chambre d'Oscar pour lui emprunter un de ses t-shirts.

Quand j'ai ouvert la porte il était sur le lit entrain de fumer un joint. Je me suis assise à côté de lui et est fumé avec lui.
" ivi ? "
" mh"
" si te doy beso ahora mismo tu le prendrai mal ? (Si je t'embrasse là maintenant ) "
Je tourne la tête vers lui assez choqué de sa question. Mais le mélange d'alcool et marijuana a pris le dessus. On s'est embrassé. Une fois. Deux fois. Trois fois.
Et voici comment s'est passé ma 1er foi.
La plus part du temps les filles sont stressés et mal a l'aise la première fois. Je ne sais pas si c'est toute les substances qui se trouvaient dans mon corp à ce moment là où le fait que oscar m'ai toujours faite sentir en sécurité, mais je n'étais absolument pas stressé. Au début c'était douloureux certes, mais ensuite j'ai découvert pourquoi tout ses rappeurs et reggaetonneros ne parlent que de ça dans leur son.