Power. []IN PROGRESS[]

04.

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Ne te prend pas pour quelqu'un que tu n'est pas.

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Flash Back.

(Des scènes détaillés sont écrit dans cette partie de l'histoire, plus que dans les autres. Veuillez passé après ce chapitre si cela est trop dure à lire.)

Cela avait commencer avec des fessées puis rapidement les gifles ont pris le relais. Vernon prenait un malin plaisir à faire pleurer Harry lorsqu'il le battait, cependant, il arrivais à un moment où les pleurs l'agaçait. Les pleurs ont cessé lorsque Vernon trouve un moyen efficace pour les faire taire, un poing dans la mâchoire. Si l'enfant avait le malheur de pleurer encore plus, ce n'était plus les poings qui tombait, c'était des brûlures. Des brûlures de cigarette sur le ventre de l'enfant mais également sur les peau les plus fines de son corps. Ses traces étaient placée avec minutie, personne ne devait les voire. Seul les ecchymoses sur le visage de l'enfant étaient visible et Pétunia trouvait toujours une excuse. Il s'est battu, disait-elle aux voisins pour qu'ils ne posent d'avantage de question. Personne ne savait en réalité ce qu'il se passait dans la famille Dursley. L'enfant tentait toujours de se débattre lorsque Vernon utilisait ses moyens de punitions, quelques fois ce n'était pas grand chose. Un regard où une respiration trop forte. Harry savait que seule sa présence agaçait Vernon et celui-ci finissait toujours par le battre. Le plus étrange c'est que lorsque Harry finissait sur le bord de la mort, il finissait par guérir. Vernon redoublait d'effort pour faire plonger Harry dans un état comateux.

Non seulement les blessures s'aggravaient mais son état était pitoyable. Tel un déchet, Harry baignait dans ses excréments. Pétunia et Vernon ne l'autorisait pas à se lavé ni même se soulager lorsque cela devenait trop urgent. Son placard n'était jamais changer, ranger, nettoyer. L'odeur était immonde et Harry était obliger de dormir là dedans.

C'est pendant la journée du 23 Juillet que le monde de Harry s'écroule. Tante Pétunia avait décidé de faire quelques courses avec Dudley, profitant d'une balade et du temps estivale. Vernon avait bu à n'en plus pouvoir, dû à sa perte ressente d'argent. Harry savait pertinemment que Dudley volait son père, mais celui-ci n'avait jamais rien remarqué. C'est alors que tout explosa. Le gamin était toujours dans son placard, jouant avec ses petits soldats. Du haut de ses quatre ans, Harry avait réussis à récupérer quelques jouets ridicule que Dudley voulait jeté, cela l'occupait durant ses temps libre. C'est donc couché sur son matelas moisis qu'il jouait, insouciant du danger qui s'approchait.

Le cliquetis du verrous ne semble pas perturber Harry qui continue à bouger ses soldats. Quand la porte fut ouverte et que la lumière passe sur la main du garçon, celui-ci se tourne pour trouver Vernon saoul, titubant devant lui.

- Sort de là garçon. Grogne l'adulte.

Harry fit ce qu'on lui demande, gardant la tête baissée. Qu'avait-il fait ? Se demande-t-il quelque peu nerveux du sort que Vernon lui réserve.

- Met toi à quatre patte.

En déglutissant difficilement, Harry s'abaisse lentement. Il n'était pas tellement grand que cela mais en se mettant à quatre patte, il avait l'impression de n'être qu'une petite fourmis. D'un geste brusque, Vernon tire les cheveux de Harry, lui murmurant qu'il ne devait surtout pas hurler ni pleurer. Inquiet, Harry tente de se tourné pour voir ce que fabriquait Vernon, cependant l'ouverture du pantalon de celui-ci donne un haut le cœur à l'enfant. Tremblant comme une feuille, le cœur battant à mille à l'heure, Harry ferme les yeux alors que l'adulte lui baisse son pantalon trop large.

Sentant les mains froides et rugueuse de Vernon sur son postérieure, Harry savait par avance ce qu'il allait se produire. Harry garde les yeux fermés, sentant quelque chose lui titiller son postérieure. Quelque chose de chaud et légèrement humide. Manquant de vomir et de tomber dans les pommes, Harry s'agrippe au sol lorsqu'une sensation de déchirement le saisit. Un grognement de plaisir sort de la bouche de Vernon, Harry place sa main sur sa bouche pour ne pas pleurer. Des étoiles apparait lorsque Vernon entame des vas et viens rapide, faisant sursauté l'enfant.

Les coups de bassin rendait Harry nauséeux, des mouvements répété lui fais tourné de l'œil. C'est lorsque les cris de plaisir de Vernon s'intensifie que Harry rejette ce qu'il avait dans l'estomac. Tentant de ne pas faire de bruit malgré tout, Harry garde ses yeux fermé, la respiration hachée et tordue. C'était un cauchemar. Quand Vernon eut pousser son dernier cris de jouissance et qu'il se vide entre les chairs de l'enfant, l'adulte prend la parole la respiration bourrue.

- Tu le répète à qui que ce soit je te tue. Menace Vernon d'un ton colérique. Et nettoie moi ça.

En se redressant, Vernon part dans le salon comme si de rien était, laissant l'enfant en pleur dans le couloir de la maison.

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La famille Malfoy venaient d'arrivée devant le mur séparant le monde moldu à celui des sorciers. Lorsque Draco s'apprêtait à s'élancer gracieusement vers le mur, un enfant de son âge quoi que plus petit que lui arrive à ses côtés. En fronçant les sourcils, le plus petit des Malfoy le dévisage. A l'apparence d'un elfe de maison, l'enfant à ses côtés avait l'air fatiguer. Lorsque celui-ci prend la parole, Draco se tourne vers ses parents pour voir ce qu'ils en pensent.

- Bonjour, commence Harry d'une voix légèrement tremblante. Savez-vous où se trouve la voie 9 ¾ ?

D'un oeil critique, Lucius Malfoy détaille également l'enfant, gardant une posture droite et fière. Lorsque son regard tombe sur les yeux de l'enfant, un flash le saisit alors. Un viol. Ce gosse as été violer. Un frisson de dégout le saisit alors, continuant sa contemplation malgré ce qu'il venait de découvrir. Ce gosse n'avait aucune protection magique. Il ne protégeait donc pas son esprit qui pouvait être à la vue de n'importe qui. Pris d'un sentiment étrange, Lucius s'approche de l'enfant et fronce les sourcils en voyant la cicatrice sur son front.

Ce gosse est.. Harry Potter ? En levant gracieusement un sourcil, Lucius prend la parole visiblement curieux.

- Bien entendu petit. Draco, montre lui, il te suivra.

Alors que Draco hoche la tête, celui-ci traverse avec aisance le mur sous l'œil ébahis de l'enfant. Lucius eut un fin sourire en voyant les yeux vert pétillant de l'enfant. Satisfait de sa trouvaille, il n'allait pas s'en séparer. Avoir le Survivant dans ses bottes était du pain béni. En voulant placer sa main sur l'épaule du garçon il remarque une araignée. Le patriarche de la famille finit par passer une main sur le dos de l'enfant, faisant tressaillir celui-ci. En grognant légèrement de sa bêtise, Lucius finit par prendre la parole pour apaisé l'enfant.

- Vas y, traverse le mur. Tu ne risque rien.

En hochant la tête, Harry s'élance vers le mur, le coeur battant. Il avait peur de s'écraser c'est pour cela qu'il garde les yeux fermées tout du long. C'est en traversant le mur qu'il entend un fin ricanement à côté de lui. En ouvrant les yeux il découvre le garçon aux cheveux blond sourire finement, se moquant du survivant. Harry eut un sourire timide pour Draco et le rejoins patientant la venue des adultes.

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Voilà ! Chapitre quatre terminer.

Draco et Lucius Malfoy entre en jeux. (Enfin.)

Je me demande ce qu'il vas ce passer lorsque les deux garçons seront à Poudlard. Je garde le suspense encore longtemps ? On verra haha !

Merci de me lire, enjoy ! ♥