M: Laisse moi seul, j'ai besoin de réfléchir, j'étouffe tu comprends ? Laisse moi hors des problèmes quelques minutes.
V: Parce que tu t'étouffes pas avec tes cigarettes peut être ? Tu fumes quand tu vas mal mais putain ne fais pas la même erreur que moi!!! Fumer tue ne l'oublis pas Maxime.
M: Tant pis.
ℙ𝕕𝕧 𝕍𝕒𝕝𝕖𝕟𝕥𝕚𝕟:
Je pleure comme une grosse merde.
Je me lève, enfile ma veste que j'avais jeté sur le lit, sors et ferme la porte à clef de l'hôtel.
Je cours le plus rapidement possible au tabac, de peur que Maxime ne face une connerie. J'arrive rapidement au tabac essoufflé, et demande gentiment à la caissière.
V: Bonjour *respire vite et fort* auriez vous vu un petit homme, avec un bonnet noir une écharpe, et un grand blouson s'il vous plaît ?
(C:caissiere)
C: Excusez moi monsieur mais il y en a plein des personnes comme ça.
V: Il a les yeux bruns, une barbe, et une montre marrons.
C'est à ce moment que je trouve la simple idée de lui montrer une photo de lui.
V: Regardez c'est lui.
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C: Ha d'accord ! Oui il est venu il y a quelques heure déjà, il m'a prit trois paquets de marlboro.
V: Par où est-il partit s'il vous plaît ???
C: Heuu je ne sais pas je n'ai pas trop fait attention mais je crois qu'il est partit sur la petite route à côté sur champs vous voyez ?
V: Nickel merci beaucoup madame !!
Elle n'eut le temps de répondre que je m'étais déjà enfuit à toute vitesse vers la direction qu'elle m'a indiqué, et cours pendants de grosses minutes.
Il y avait pas mal de vent, même beaucoup en fait. Je cours, je cours, mon visage est rouge comme jamais à cause de l'air gelée.
J'arrive sur la route, regarde autour de moi, et aperçois Maxime, au loin, avec un nuage de fumé s'envoler au dessus de lui.
Je cours vers lui, sans qu'il ne puisse me voir, puis arrive derrière lui.
Il semble perdu dans ses pensés, il n'avait pas remarqué ma présence.
Je pose ma main sur son épaule, puis, il sursaute.
M: Putain Valentin tu m'as fait peur !!
V: Désolé. Maxime, reviens, il fait froid et vu la fumée autour de toi tu n'as pas du fumer qu'une seule cigarette. Pose ce paquet de clopes.
M: Pourquoi pas ? Tu es mon père ? Je suis majeur et vacciné, je fais ce que je veux.
V: Tu te détruis les poumons, tu es le premier à avoir peur de ça !
M: Comme quoi *rit nerveusement* il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis !
V: Très drôle Maxime.
Je lui arrache d'un coup son paquet, il se retourne puis dis en élevant la voix.
M: T'es chiant hein !
V: Viens.
M: Non.
V: Je suis dans l'hôtel si jamais tu me cherches...
Je pars, la tête baissée, et les mains dans les poches.
ℙ𝕕𝕧 𝕄𝕒𝕩𝕚𝕞𝕖:
Il est mignon mais qu'est ce qu'il peut être chiant des fois. Je ressors un des deux paquets qu'il me restait puis rallume une cigarette.
Le temps se couvre légèrement, et la nuit commençait à tomber. En ce 17 novembre c'est normal...
Ma main gauche est dans ma poche tandis que l'autre se charge de tenir ma cigarette qui n'était même pas encore arrivé à la moitié de son tube.
Mon regard, toujours figé sur le ciel bleuâtre, mon visage froid porté par la douceur du vent me fait quelque part du bien, et la senteur incontournable de l'herbe mouillé est irrésistible pour quelqu'un comme moi qui a grandit au milieu de cet environnement.
Lorsque, je sursaute, pour la seconde fois.
M: Bon Valentin t'es plus drôle maintenant laisse moi seul !
C: Retourne toi et ne bouge plus. ࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐ Hey hey ! Déjà, merci pour les 2k de vus omg !!! Merci beaucoup !!!!!!!!!
Bon, la suite arrive bientôt ;) Et d'ailleurs ! Oubliez la fois où j'ai dit qu'il restait quelques chapitres ! Je pense qu'il y en aura plus que ça !