ℙ𝕕𝕧 𝕄𝕒𝕩𝕚𝕞𝕖:
Nous arrivons devant le commissariat après quelques minutes de silence. Mon coeur s'accélère légèrement dû au stresse, je commence à détacher ma ceinture pendant que Valentin lui regarde son rétroviseur droit pour terminer de se garer.
~ 𝒾𝓁𝓈 𝑒𝓃𝓉𝓇𝑒𝓃𝓉 𝒹𝒶𝓃𝓈 𝓁𝑒 𝒸𝑜𝓂𝓂𝒾𝓈𝓈𝒶𝓇𝒾𝒶𝓉 ~
Tout les deux, sommes assit sur les chaises gelées accroché sur le mur devant le bureau; attendant notre tour.
V: Ça va aller Maxime?
Je le regarde anxieusement puis répond d'une voix basse.
M: On va dire que oui...
*𝒗𝒐𝒊𝒙 𝒂𝒖 𝒍𝒐𝒊𝒏*
(P:policer)
P: Monsieur Chabroud et monsieur Palun !
Nous nous levons instantanément, nous dirigeant vers les deux chaises qui nous attendaient.
On s'assoit, puis un mini blanc s'installe jusqu'à ce que le policier commence la discussion en nous regardant de haut en bas.
P: Alors alors, que faites vous ici jeunes gens ?
Moi voix est tremblante, j'avais un stresse insupportable, mais j'essaie tant bien que mal de le gérer de peur à ce que je croise un abonné.
M: J'aimerai que quelques agents viennent vérifier mon appartement...
Il ricane mais garde malgré tout son sérieux.
P: Pourquoi ça monsieur ?
Mes yeux rougissent et je mange mes mots petit à petit.
M: J'entend sans arrêt une-
P: Oui?
Une première larme coule sur ma joue, lorsque je sentis la main douce de Valentin se poser sur ma main qui était sur ma cuisse, puis je continue ma phrase.
M: J'entend une voix continu, des objets se déplacent sans que moi ni mon ami ne les bougions, les portes se claquent alors que les fenêtre de mon appartement sont toute fermées excrétera.
P: Une voix vous dites ?
M: Oui?
Il soupir, puis me repose des questions:
P: Qu'est ce qu'elle disait cette voix ?
Aucun mot n'arrive à sortir.
Valentin comprit que je ne réussirais pas à sortir plus de mots que ceux-ci, il décide donc de prendre la parole.
V: « Tu vas le regretter »
Le policier fronce les sourcils puis note tout sur son ordinateur.
P: Et vous ne savez pas qui ça peut être ? La voix ne vous est pas familière ?
M: À- a vrai dire je n'ai pas fait tant attention à ça, j'étais vraiment prit par l'émotion et puis nous étions au beau milieu de la nuit.
Je renifle.
P: Bon, écoutez messieurs, dès ce soir j'enverrai une patrouille autour de votre appartement, il va valoir me donner votre nom prénom adresse numéro de téléphone.
Je lui donne donc toute les informations qu'il m'avait demandé.
P: À présent, ne paniquez pas, vous ne ferez qu'aggraver la situation d'accord ?
Vivez votre vie sereinement, nous ferons ce que nous avons à faire.
D'ailleurs si jamais vous reconnaissez cette voix, n'hésitez pas à venir me voir moi ou un de mes collègues.
