V: Aucun soucis, merci beaucoup monsieur l'agent.
M: Merci.
Nous nous levons après trois quart d'heures au commissariat puis rentrons dans la voiture.
V: Maxime, je vais conduire t'arrives pas à te concentrer depuis tout à l'heure, je le vois bien.
Je le regarde, et baisse la tete en m'asseyant sur le siège passager.
V: Écoute, si tu veux on va manger quelques part, ça nous changera les idées, ça te va ?
M: Comme tu veux Valentin...
Il soupir.
V: Regarde moi quand je te parle s'il te plaît.
Je tourne ma tête qui regardait le sol à travers la vitre, et le regarde droit dans les yeux.
V: Bon, je vais nous prendre quelques jours dans l'hôtel « Le palace » à côté de chez toi.
Je ne répondis pas.
V: Je prend ça pour un oui.
Il sort soudain son téléphone, et nous prend une chambre. Puis, il démarre enfin.
V: *regarde la route* Je sais que c'était compliqué de parler Maxime.
Aucun mot ne sort de ma bouche.
V: Ne te renferme pas sur toi, c'est ce que veux la personne qui te fais ça, tu l'as fait gagner.
M: Je m'en fou.
Il soupir encore sans rien dire et continu de rouler dans le plus grand des silence.
M: J'ai juste peur Valentin, j'ai peur putain.
Mes mots se hachent de plus en plus et mes yeux se remplissent d'eau salées... encore.
Nous sommes sur une petite route d'Angers à côté d'un champs à 5 minutes en voiture de chez moi, et de l'hôtel où on allait dormir cette nuit.
Valentin se gare à côté, la route est vide, c'est pas comme si il y avait du monde sur Angers encore moins dans les recoins paumés de la ville.
Il se gare donc sur le peu de route hors champs, et pose sa tête sur le volant.
V: Maxime...
M: Quoi?
Il prend un grand bol d'air, puis enchaîne.
(Spoil: il va pas lui dire je t'aime :))
V: Je ne sais plus quoi te dire, je ne veux pas que tu restes dans cet état là tu comprends ?
M: Ne dis rien dans ce cas, ça passera...
V: Non. Justement.
Je m'essuie les yeux.
M: Je ne suis pas confiant de ce qu'il pourrait arriver...
V: Je comprend... mais imagine il ou elle te regarde maintenant ? Tu le fais gagner putain.
M: J'men fou, les flics l'arrêteront.
V: J'espère que tu n'as pas tord...
Après ces quelques paroles, nous reprenons la route dans le plus strict silence...
~ 𝓆𝓊𝑒𝓁𝓆𝓊𝑒𝓈 𝓂𝒾𝓃𝓊𝓉𝑒𝓈 𝓅𝓁𝓊𝓈 𝓉𝒶𝓇𝒹~
Nous sommes à l'accueil de l'hôtel, Valentin termine de faire ce qu'il a à faire pour régler la chambre, pendant que moi... je ne regardais que le vide d'un air désespéré.
V: On peut y aller, viens.
Je le suis.
Nous entrons dans notre chambre, Valentin et moi regardons un petit peu toute les pièces, puis il s'allonge un moment dans le lit, pendant que moi j'ouvre la fenêtre pour sortir sur la petite terrasse.
M: Valentin?
V: Oui?
(Toujours pas)
M: T'as pas une clope s'il te plaît?
Il s'assit instantanément sur le lit me regardant d'un air surprit.
V: Depuis quand tu fumes toi ?!
M: Ça te regarde ?
Il se lève et me rejoint.
V: Répond moi ! Tu as quelques chose à me cacher c'est ça ???
M: Bon tu sais quoi c'est pas grave je vais aller au tabac tout seul merci.
Je me lève et claque la porte.
Puis je pars au tabac à pied.
ℙ𝕕𝕧 𝕍𝕒𝕝𝕖𝕟𝕥𝕚𝕟:
Putain...
Je m'assois par terre, contre la vitre en mettant mes mains sur mon visage.
V: PUTAIN !!!!!
Je reste comme ça, regardant dans le vide en réfléchissant, pendant 20 bonnes minutes.
Lorsque j'entendis soudainement la sonnerie m'indiquant un nouveau message.
࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐࿐
Bonsoir à tous et à toutes.
Bon, je suis active en ce moment c'est cool pour moi et pour vous sûrement ^^
Vous en pensez quoi? J'avoue que ce chapitre était assez court mais je me rattraperai !
D'ailleurs, quand je disais qu'il ne manquerai que quelques chapitre avant de signer la fin de la ff, oubliez, on en a encore pas mal en fait...
Passez une bonne nuit ou une bonne journée <3
1155 mots.
Chap 16 ~ perdu ~
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