Captive De Salvatore Mckoa: La Soumission [ROMAN TERMINÉ]

Première fois

Il observa dans les recoins de la pièce aucun signe de vêtements dans les parages. Il retira sa chemise qu'il lui tendit et elle l'enfila.
Sans un mot, ils sortirent de la pièce et se dirigèrent vers la caisse où il paya en billet le montant de son bien. Une fois fait, ils se dirigèrent sans aucun mot vers sa voiture.

_ C'est quoi ton prénom ?

_ Mon prénom sera celui que vous me donnerez

Choqué, par cette soudaine proximité il préféra toutefois ne pas répondre pour le moment car ils avaient un problème bien plus urgent à résoudre...

Le trajet jusqu'à chez lui se fit en silence. Il l'attrapa quelque fois entrain de l'observer mais lorsque leurs regards se croisaient, elle tourna la tête. Il adorait cette manière dont elle avait de se comporter en sa présence dire qu'il y'a de cela 2 heures ils étaient inconnus.

La villa de Mckoa était d'une beauté rarissime. Elle s'accordait parfaitement avec l'environnement dans lequel elle a été construite. Le jardin s'étendait sur plusieurs km² et comportait en son sein une magnifique représentation d'une mère portant son enfant. Par son crâne, jaillissait de l'eau en quantité suffisante qui retombait sur le jardin à l'endroit exacte où se tenaient les fleurs. C'était juste époustouflante.

Les baies vitrées permettaient d'entrevoir quelques merveilles de cette villa. Palace serait le mot adéquat. Sans plus perdre de temps dans la contemplation, Mak l'indiqua à travers son regard d'acier le chemin à suivre.

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Une fois la porte fermée, il se jeta sur ses lèvres. Elle répondit à son baiser et chancela lorsqu'il s'éloigna d'elle pour retiré son démembré de même que son pantalon. En un seconde elle se retrouva plaquée contre lui, les petites mains sur son torse tandis que les siennes faisaient des ravages sur son intimité.

Plus leur baiser augmenta en intensité, plus ses caresses se firent de plus en plus précise sur son corps. Ses mains délaissèrent ses hanches pour prendre ses seins qu'il malaxa. Leurs langues dansèrent encore ensemble lorsqu'il la poussa contre le lit et d'un geste brusque fit éclater les boutons de sa chemise.

Quelle belle vue pensa ce dernier

Il déposa un sillon de baiser sur son corps en prenant soin d'éviter sa poitrine. Il se redressa pour la contempler; contempler ce corps qui désormais l'appartenait. Elle ne semblait aucunement réticente face à ce qu'il faisait en même temps il n'aura pas dépensé plus de 3 millions de dollars pour une vierge effarouchée.
La colère, ce sentiment si familier refit sur face.

Combien d'hommes l'avaient touché ?

_Combien? Demanda t'il. Elle l'observa incrédule, se demandant de quoi il pouvait bien parler.

Suis je sensée rétorqué? Se demanda t'elle à son tour mais il ne lui laissa pas le temps de plus y réfléchir car sa tête se trouvait entre ses jambes. Il parsema l'intérieur de ses cuisses de baisers tandis qu'il frôlait de son pouce son clitoris. Les sensations étaient bien trop forte pour empêcher quelques gémissements de se faire entendre.

Quand elle pensa qu'il allait l'embrasser là, sur cette partie. Soudain, il changea de direction et vint déposer ce baiser sur son nombril qu'il avait déjà embrassé. Ses doigts s'activèrent dans son vagin et une légère brûlure se fit sentir mais elle ne le signala pas.

C'était si bon, si bon de le voir ainsi s'agiter ainsi sur elle. Son érection se pressait contre son intimité luisante. Ils n'en pouvaient plus c'était une torture. Il contracta sa mâchoire pour s'empêcher de gémir. Ses mains pressaient ses seins et de temps à autre il mordillait puis léchait ses tétons laissant dans son corps des sensations de chauds ou de froid. Elle était terriblement frustrée, il réclama ses lèvres et elle le lui donna quand il retira enfin son boxer laissant apparaître son engin imposant.

Salvatore repris place entre ses cuisses et cette fois-ci embrassa son intimité. Ses mains se déposèrent sur les cheveux de son amant l'incita à aller plus loin, plus vite. Elle s'appuya sur ses coudes se cambra encore plus pour mieux s'offrir à lui. Son bassin bascula dans tous les sens.

Merveilleux.

Elle était en sueur lui aussi quand ses muscles se relâchèrent signe de son premier orgasme.

Salvatore tendit la main vers la commode qui se situait au pied du lit, vida tous les tiroirs puis pris une enveloppe grise qu'il déchiqueta avant d'enfiler son préservatif tout le long de son sexe dressé. Il entra progressivement en elle, une fois bien installé, il se pencha vers elle et lui donna un baiser plus doux que ceux qu'ils eurent autrefois échangés.

Le rythme fut au départ lent mais augmenta au fur et à mesure que le désir se dupliquait. Ses vas-et-vient étaient rapides, brutaux, possessifs.

_ c'est si bon grogne ce dernier

On entendait plus que leur cris, leurs gémissements, leurs grognements. Il accélèra senta le point de nos retours arrivé. Dans un dernier cri camouflé par leur baiser langoureux, ils atteignirent l'extase. Salvatore se releva pour retirer son préservatif puis revint se coucher.

_ c'était ..

Ils ne purent terminer le cours de leur pensée car ravagés par l'orgasme ils tombèrent dans les bras de morphée.

Pensez à la petite étoile

Merci d'avoir lu

Rdv dans le prochain chapitre

Tea