Aimer un Vampire (Abandonné)

Peur

Je supportais de moins en moins la vue du sang, au bout d'un moment, l'un des drogué de la fête activa son Alter et se transforma en un gros tigre et m'attaqua avec ses griffes étant attaché, je n'ai rien pu faire d'autre que de recevoir la première cicatrice.

J'ai hurlé de douleur, alertant les voisins aux alentours.
Autour, les autres riait aux éclat, sûrement du à l'alcool et à la drogue.
Le tigre à déchiré la corde et alors, par vengeance je me suis jeté sur lui et l'ai mordu.
Il se débattait tant bien que mal, une fois rassasié, je me suis retiré, pensant qu'il n'attaquerais plus mais le fit quand même, c'est ce qui m'as donné la seconde cicatrice, plus petite grâce à mon esquive.

Et soudain j'ai perdu le contrôle, ma tête a commencer à me brûler, mon sang s'accélèrais, au fur et à mesure que les gens riait et que le tigre m'attaquais, je perdais ma raison.
J'ai commencé à glousser, puis à rire au éclats, comme un fou tout droit sortit de l'asile.

Quand j'ai été capable de raisonner à nouveau, j'etait sur le sol, dans une marre de sang, et autour de moi, des gens à moitié morts allongé dans la pièce.
Je me suis relevé lentement, j'ai regardé au tour de moi, et j'ai commencé à sangloter, je suis retombé au sol en larme en pleurant "Maman !".

Par chance, la soirée se trouvait dans au bout de mon quartier alors mes parent arriverait bientôt.
Mais ce fussent des voisins arrivèrent en premier, c'était un jeune couple, de l'âge de mes parents environ.

Ils entrèrent en courant, pour voir un enfant ensanglanté avec deux blessures et du sang coulant de sa bouche et un tas de personnes agonisant sur le sol devenu une marre de sang.

Ils ont appelé le Samu puis sont venu vers moi "Eh, petit, ça va ? Que s'est il passé ?" je n'ai pas répondu, j'ai simplement montré la caméra du doigts.
Quand le Samu est arrivé avec la police, ils ont immédiatement pris la vidéo de la caméra comme preuve et ont pris tout les corps.
Quand à moi, ma mère était arrivée et avait utilisé son pouvoir de guérison sur moi avant tout le monde, malheureusement c'était trop tard, je m'en suis sorti avec ces deux cicatrices.

Le jeune couple venu me voir se sont présentés comme Mitsuki et Masaru Bakugo.
Mitsuki à proposé à ma mère de me couper les cheveux, ceux ci étant trop long.
Elle accepta, après avoir un peu hésité.
Et ils nous conduirent chez eux.
C'était juste à côté de chez nous.

Une fois chez eux, ma mère m'installa sur une chaise pour que Mitsuki me coupe les cheveux.
Quand elle eu fini, ma mère s'inclinait légèrement alors que je regardais le sol sans émotion.
C'est alors que j'ai vu un garçon de mon âge me regarder depuis le haut des escaliers, Mitsuki aussi semblait l'avoir vu "Katsuki remonte dans ta chambre" elle a ordonné fermement, mais le garçon s'en fichait et descendit les escaliers en me regardant,
"Oi Sorcière, c'est qui ces extras?" il a demandé,
Elle allait le frapper quand j'ai dit "Ketsueki Akuryo, horrifié de te rencontrer" j'ai dit platement, il a rit légèrement avant de me tendre la main en souriant "Katsuki Bakugo, également horrifié de te rencontrer" j'ai saisi et secoué la main avec un petit sourire.

Puis nos parent se sont dit au revoir, et nous sommes partis.

~

Pendant quelques jours, mes parents ont eu des complications suite à l'accident mais j'ai été reconnu non coupable grâce à la vidéo.
J'ai également été changé de lycée et je n'ai plus été ami avec personne.
J'ai seulement fréquenté ma famille et les Bakugo, devenu officiellement nos meilleurs amis.

~
Fin du Flashback

Lorsque j'ai cessé de me remémorer le passé, je me suis aperçu que j' était affalé sur mon bureau et que j'avais les larmes aux yeux.
Une main caressait doucement ma tête et en arrière fond résonnait la voix de mon frère disputant la classe.

"Ketsu, ça va mieux ?" la voix de Katsuki me demanda je relevais légèrement la tête vers lui "Ça va....." j'ai essuyé mes larmes pour voir que tout le monde avait les yeux tourné vers moi.
"qu'est ce que vous voulez extra ?!" Katsuki à crié, je ne voulais pas qu'il me défende, je voulais le faire seul, mais je 'en ai pas la force.