Moi: Pas de soucis je vais te faire un gros bisou d'amour

Je prends sa tête avec mes petites mains et je commence à lui faire plein de petit bisous partout. Sur le front, sur les joues, le nez, le cou, partout. Il était mort de rire. En même temps je lui disais merci à chaque fois que ma bouche touchait sa peau. Puis il s'est mis à me faire des gilis chose que je crains beaucoup alors j'ai commencé à le supplier d'arrête mais ne voulait pas alors j'ai réagi.
J'ai mis mes mains de chaque côté de son visage puis je l'ai embrassé.

Là biensur il s'est arrêté pour profiter de la chose. Après quelques minutes, j'ai posé ma tête dans le creu entre son épaule et son cou en lui glissant quelques mots : Je t'aime fort.

Ça me faisait bizarre de lui dire ça aussi naturellement mais bon je pense que je vais m'y adapter un jour. Je l'ai senti sourire puis en guise de réponse il m'a caressé la tête.

Franchement le connaissant je ne m'attends pas de lui qu'il me déclare son amour comme ça un jour. C'est déjà assez surprenant de le voir aussi mignon en tant que mari je trouve que c'est déjà beaucoup.

........

Franchement, waw. La Turquie c'est quelque chose. C'est vraiment magnifique comme cadre. Les gens sont joyeux, le paysage urbain est magnifique et la cuisine... mon dieu je meurs.

Nous sommes allés diner dans un restaurant d'Istanbul j'ai mangé comme une grosse. Zakarya était mort de rire.

Moi: Ça s'appelle comment ce dessert ?

Zakarya: Kunefe

Moi: Je vais pleurer tellement c'est bon

Zakarya: Eh mais toi t'es chelou qd on va au grec tu mets dix ans à manger la moitié d'un tacos après t'es calée, là tu grailles entrée plat dessert sans aucun problème

Moi: C'est pas le même niveau de gastronomie enfin, les tacos c'est bien mais c'est gras.

Zakarya: C'est parce que vous faites trop de chichi pour pas grossir

Moi: Ah non moi je m'en fiche si c'est bon je mange on a qu'une vie.

Zakarya: MDRRR mais tchek moi mon pote t'es trop perspicace. De toute façon avec ton corps de brindille là t'as de la marge.

Moi: Pardon ? Qui tu traites de brindille ? Fais attention à tes mots. J'ai une corpulence normale. Tous les corps sont normaux, ce n'est qu'une histoire de préférences societales.

Zakarya: Ah ouais excuse nous surtout Karl Marx.

Moi: Je t'excuse pas de soucis.

Zakarya: Mange mange

........

Le lendemain on a passé la journée à se promener dans la ville, en excursion touristique. Ce fût super cool. On a mangé des kebabs et ça n'a rien à voir avec ceux de Marseille.

Ensuite on est allés se promener près d'un port où il n'y avait pas grand monde. On s'est approchés du bord, il y avait une passerelle avec une barrière pour ne pas tomber dans l'eau.

Comme une enfant qui adore la mer j'ai couru vers la barrière pour regarder l'eau de plus près. Je la regarde puis je vois le reflet de Zak dans l'eau derrière le mien.

Je tourne ma tête en le regardant, il me lance un regard en souriant puis vient me tenir par la taille et regarde l'eau à son tour.

Zakarya: On dirait j'suis ton père

Moi: On dirait que je suis ta mère

Zakarya: Tes 1 mètre 20 là ? Même ma mère elle est plus grande que toi

NEYLA :《Détestée de tous : il n'y a que lui qui a su m'aimer》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant