6. "[...] la fin ?"

545 17 0
                                    


Papillon :
Je me laisse tomber, à genoux, les yeux ronds. Chat noir, mon pire ennemis, est...
Mon fils ?!
J'aurais du m'en douter !
Je demande alors à l'Akumatisée :
- Secrète, ici le Papillon. Libére tout de suite  Adrien !
Encore sous le choc, ma voix tremble.
Elle ne tarde pas à répondre :
- Mais, non ! Pourquoi ?!
- Je te l'ordonne !!!
Je vois Secrète libérer Adrien, qui lui ne comprends pas pourquoi.
- Où est la vrais Ladybug ?!! Crit-il.
Sa voix, pleine d'angoisse, me force un instant à me retourner.
Derrière moi, la petite Marinette est allongée, prisonnière par une tonne de corde.
- Hmmm !!
Elle tante malgré tout de parler, de ce libérer, mais cela ne sert à rien.
Ça ne fonctionne pas.
Voyant une larme couler sur ma joue, elle ne bouge plus. Elle doit ce demander pourquoi cette larme est ici.
- Marinette, dis-je.  Tu as fais une grosse erreur en devenant Ladybug, car  de ce fait, c'est toi qui va devoir en subir les conséquences.

Adrien :
- Pourquoi me libères tu, Solène ?
- Premièrement, je suis Secrète !
Deuxièmement, ce n'est pas moi, c'est le Papillon... Il est si bête !!!
- Et où est Ladybug ?!!
Elle ne dit plus rien.
- Ne me force pas à changer d'avis,
le matou ! Va, et ne cherche pas à t'interposer !
Je fis volte-face, courant à l'extérieur.
Sans ma bague, ni ma Lady, je ne peux rien faire...
Je coure alors chez moi, cherchant une solution.
J'ouvre la porte, la claque et me précipite vers le bureau de mon père.
Il n'y est pas.
- Père ? Où êtes-vous ?
J'entendis un bruit étrange.
- Non, laissez moi !!
Je reconnaîtrais cette voix entre mille : Marinette !

Marinette :
Mes poignets, attachés d'une corde, son en sang. Mes chevilles aussi sont attachés, et elles, elles me font souffrir terriblement.
J'ai réussi du bout des doigts à retirer le scotch sur ma bouche, mais rien d'autre.
Le papillon me fixe de ses grand yeux.
- Crois-tu vraiment que pourvoir parler va t'aider ? Nous sommes seuls, ici.
- Non, ça ne va pas m'aider, mais vous...
- Mais moi ?
- Libérez moi !!
Autour de nous, des milliers de papillons blancs volent de droites à gauche, et de gauche à droite.
Dire que ces magnifiques créatures sont en partis responsables de ce désastre !
Le papillon approcha de moi.
De son bâton, il me fit rouler plus loin. Ma tête ce cogne brutalement au mûr, comme si j'avais étais projeté avec une force incroyable.
- Aïe...
Une goutte rouge coule le long de mon visage, passant par ma bouche, où je ne pu l'empêcher d'entrer.
Son goût, amer et comme du fer, me donne un haut de coeur. Je suis sûre que j'ai une longue trace rouge sur la tête.
Le Papillon s'approche de nouveau et, cette fois, il s'assoit à mes côtés et me regarde dans les yeux.
- Tu es si vulnérable sans ton yoyo pour gamines !
Je ne dis rien. Après tout, rien ne va le faire changer d'avis.
Et puis, il a raison ; sans mon yoyo magique, je ne suis pas Ladybug.
Et sans être Ladybug, je ne suis pas une héroïne. Je ne suis qu'une civile toute simple, prisonnière du méchant de l'histoire. Je suis absolument vulnérable, comme il l'a si bien dit.
Le Papi Yon, de son costume noir et violet sombre, s'apprête à me mettre un coup de pied en pleine tête.
Je tante de reculer, oubliant que je suis contre le mur, et donc en vain.
Son pied s'approche dangereusement de moi ; je m'écrit en un souffle :
-  Non, laissez moi !!
À ce moment précis, quelqu'un entre, freinant le coup du Papillon, mais pas assez pour l'empêcher.
Je ne suis pas sûr de ressentir la douleur.
Peut-être est-ce parce que celle-ci est trop intense ?
Mais je la ressent une seconde après.
Elle est même insoutenable !
Dans le flou que je vois, à moitié sonné, je distingue deux souhaites masculines.
L'une, plus petite que l'autre, attaque l'autre, qui, sur le coup de la surprise, tombe sur le dos en un gros "Boum !".
Je ne vois plus grand-chose, et ma tête me hurle de me laisser m'assoupir.
Mais je refuse.
Si ça ce trouve, c'est Chat noir venu pour me sauver ?
Ou pas...
Je suis remplis de désespoir ; le Papillon connait mon identité, il à même mes boucles d'oreilles ; et moi, je suis au sol, ligoté,  souffrant de douleurs de la tête aux pieds.
Je me laisse finalement tomber dans l'inconscience.
Tout ce floute de plus en plus, puis, plus rien. Plus de son, plus d'images.
Est-ce la fin ...?

Salut tout le monde !
J'espère une nouvelle fois que ce sixième chapitre vous a plu !
La suite va être encore plus intéressante, alors je vous conseille d'aller lire le septième chapitre !

Bonne lecture 😉

EcrireCVivre.

Découvert {Tome 1} (fic') TERMINÉ Where stories live. Discover now