chapitre 18

Depuis le début
                                    

- Tout les femmes pense la même chose mais les différentes culture les empêches de s'exprimer.

- Chez nous les musulmans, les femmes ne se pleignent pas.

- Parce qu'on lès laisse le choix vous pensé ?

- Les mariage forcé son interdit dans mon pays.

- Mais certaines famille le font dans votre dos. Tient comment vous sentirez vous si vous découvrez que ma soeur à un autre homme dans sa vie ?

Il fit semblant de réfléchir.

- Je m'en réjouirait.

- Quoi?

- On ne ressent de la jalousie que si on à des sentiment ou un peu de considération pour l'autre. Alors je m'en réjouirait car ce serait la un excellent moyen de me débarrasser d'elle.

- Mais elle n'est pas...

- Je loue ta gentillesse mais n'essaye pas de défendre l'indefendable. Coupa-t-il d'un ton sec.

- Et votre enfant ?

- Je donnerait à mon enfants tout ce dont il à besoin; Mohammed à bien grandit sans sa mère et il ne s'en porte que mieux.

- Mais un enfants à toujours besoin de ses deux parents!

- C'est bien beau toute ces paroles mais sais-tu la souffrance d'un enfants quand l'un de ses parent ne l'aime pas?

- Ce ne peut pas être pire et qu'est-ce que vous en savez ?

- Détrompe toi j'en sais suffisamment pour te le dire.

Il dirigea le chameau vers la droit avant de reprendre.

- Ma mère était comme votre sœur, superficielle et calculatrice. Elle n'avait jamais voulut avoir d'enfant de peur de déformé son corps mais m'a conçu dans le but de piégé mon père et elle a réussit; il l'a épousé. Et conséquences je ne la voyait que très rarement? Une fois tout les deux mois? Ce sont les gouvernantes qui mon élevé. Mon père étaitsouvent absent. Mais le pire pour un enfant jeune demoiselle c'est de savoir que sa mère est tout près mais ne la voie jamais, que sa mère habite dans la même maison que lui mais à raté tout les évènements important de sa vie. Alors oui je sais ce que je dit.

Manuela baissa la tête consciente de sa bêtise. Bien-sûr que c'était douloureux jasmine était la preuve vivante. Elle savait une fois de plus qu'elle était aller trop loingt.  Elle retourna délicatement son visage et vit pour la première fois de la douleur dans ses yeux. Sans doute de mauvais souvenir.

- Je suis désolé je ne savait pas que...

- N'en parlons plus d'accord ? Coupa l'homme en reprennent une expression neutre.

Elle hocha simplement la tête. Son coeur se serra douloureusement parcequ'il souffrait, elle l'avait sent et pour une raison inconnu elle n'aimait pas ça; elle ne voulait pas qu'il souffre.

Ils arrivèrent près d'un lac entouré de palmiers, la fit descendre et alla attaché le chameau. Elle vit de l'autre côté trois tantes parfaitement dresser. Celle du milieu était la plus grande mais elle ne parvenait pas à distingué les couleurs avec cette obscurité envahissante. Elle jetta un regard à l'homme et le vit caresser tendrement la tête du chameau les yeux toujours perdue dans l'horizon. La soirée avait pourtant bien commencé mais elle tout gâché.

- Ne reste pas là Habibti vient le spectacle vas bientôt commencé.
Elle se dirigea vers lui tout en se demandant de quel spectacle il pouvait bien parler. Il entra dans la grande tante alluma les lanternes et en ressorti avec une grande natte et quelques coussins qu'il installa devant la tante.

- Vient! l'intima-t-il.

Elle approcha lentement et s'assit sur la natte en prennent soins d'enlever ses bottillons.

- Es-ce que je vous ai contrarié tout à l'heure ? Demanda-t-elle pour brisé le silence.

- Bien-sûr que non Habibti. Vient là et arrête de me vouvoyer ça devient agaçant.

Elle avança et s'assit entre ses longues jambes.

-Vous...tu était sensé me changé les idées et voila que je t'ai mis en colère.

- Ne dit pas ça, je suis plutôt content de t'avoir parlé et sache que tu est la première personne à qui je me confie.

Elle se retourna et se mît à genoux face à lui.

- Mais tu es triste je peut le sentir.
Il pris ses deux bras et noua autour de son coup.

- Rien de bien grave.

Elle n'hésita pas longtemps avant d'embrasser son œil gauche, puis le droit et enfin elle noua ses lèvres au siennes. Le baisé dura indéfiniment mais il ne chercha pas à approfondir.

- Je plaisantais tout à l'heure. J'ai décidé que ce soir je ne te ferait rien mais ne me tente pas, je change très vite d'avis.

Légèrement déçu, elle dénoua les bras autour de son coup et se reprit place entre ses Jambes.

- De qu'elle spectacle tu parle Rachid je ne voie rien.

- Patience...oh regarde ça commence.

Elle suivi la direction de son doigt pointé et vît un spectacle qu'elle n'aurait jamais crû voir de sa vie.

- Wouah! Ne pût-elle s'empêcher de dire complètement hypnotisé pas la beauté du ciel.

Une pluie d'étoiles filantes dévalait le ciel à toute vitesse créant des lueur coloré dans la nuit. C'était magique.

- Co...comment es-ce possible ?

- Ce phénomène se produit tout les deux ans. Les bédouins pense qu'être dans le désert à cet instant procure la chance et d'ici ont une meilleur vue, personne ne peut nous dérangé.

Il s'allongea et l'attira dans ses bras de sorte à ce qu'elle repose sa tête sur son torse.

- C'est merveilleux et reposant.

Ils restèrent ainsi jusqu'à ce que le spectacle se termine mais elle resta dans ses bras. Elle était si bien.

- Je veux que tu m'appartienne! Déclara-t-il soudainement.

Elle ne bougea pas de sa position.

- Je ne veut pas être ta maîtresse Rachid.

- Mais tu ne le sera pas! Contra-t-il avec force.

- Alors je serait quoi? Comment compte tu nommé notre relations ?

- Tu ne compte pas nié longtemps qu'il y'a de l'attirance entre nous.

Elle s'appuya sur son torse pour se relevé et le regarda dans les yeux.

- Non je ne... Je ne vais pas le nié, bafouilla-t-elle, mais je ne veut pas être un jeu pour toi, je veux aimé et être aimé; je ne veut pas me caché.

Pour l'amour du cheikh ( Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant