Pour l'amour du cheikh ( Tome 1)

chapitre 12

Rachid regarda tour à tour la jeune femme et son fils pour comprendre ce que cela signifiait. Elle lui faisait signes de se taire mais il continua :

- maman j'ai mal à la jambe je peut aller me coucher dans ma chambre ?

Il la vit soufflé

- Mohamed, ont n'en n'a déjà parlé tu ne peut pas m'appeler comme ça, dit-elle sur un ton doux

- mais tu n'as pas dit non quand je t'ai demandé

- je n'ai pas dit oui non plus

- quelqu'un peut m'expliquer ce qu'il se passe ? Lès interrompit Rachid perdus

- je.... rien majesté

- papa je peut appeler Mia maman ? S'il te plaît moi je n'ai jamais eu de vrai maman et je veux que Mia soit ma maman

Il regarda longuement son fils qui le suppliait du regard .

Rachid était dans une impasse. Bien-sûr qu'il voulait voir son fils heureux mais accepté qu'il appelle la jeune femme maman allait lui causer d'énorme ennuis, surtout avec cette catin qui lui servait de femme. Il s'attachait déjà trop à cette femme et il aurait tout donner à cet instant pour que c'est elle qui soit sa femme.

- ont va faire quelque chose mon fils, déclara t-il après plusieurs minutes de réflexion

Il jetta un regard à la jeune femme qui lui disait non d'un signe de tête mais il avait déjà pris sa décision

- tu ne vas l'appeler comme ça que si vous êtes tous les deux où en ma présence ; d'accord

- pourquoi ?

- je..., voulut intervenir la jeune femme mais il la coupa

- Mohamed !?

- d'accord papa.

- mais....

- mademoiselle jhons accompagné mon fils dans sa chambre et revenez tout de suite

Elle déglutit péniblement avant d'acquiesé d'un brève mouvement de tête et s'en alla avec l'enfant.

Rachid se laissa tomber sur son fauteuil en se demandant ce qu'il était entrain de faire. Il ne parvenait pas à avoir les idées claires quand elle était là. Il laissait son désir parler pour lui et ce n'était pas la bonne solution.

Mais comment résister ?

Il avait le besoin à chaque instant de l'avoir à sa merci, de caressé sa peau parfaitement douce et laiteuse contrairement au terrible bronzage de sa sœur. De dévoré ses lèvres pleine qui n'attendait que lui.

Un péché !

Voilà ce qu'était cette femme ; un péché, et il songeait amèrement à tous les hommes qui avait pû y goûter.

Il passa nerveusement les doigts dans ses cheveux en pour réprimer ses pulsions primitive. Cette femme allait le rendre fou, il n'avait jamais ressenti une telle chose pour aucune autre femme, se besoin primitif de la posséder.

Il fallait qu'il s'éloigne d'elle avant de faire quelque chose de regrettable.

~~~

Manuela entra dans le bureau du roi en furie. À quelle jeux sordide jouait t-il ? Elle frappa les deux poings sur la table et il sourit sournoisement. Il avait le don de la mettre en colère.

- à quoi jouer vous majesté ?

- de quoi tu parles Habibti ?!

- oh.... je.... Bafouilla t-elle désemparé