chapitre 18

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Il s'en alla dans son bureau la laissant perdue et brûlante. Il venait de lui annoncé clairement qu'il allait lui faire l'amour mais au lieux d'en être scandalisé, elle était resté la bouche ouverte comme une idiote.

Il fallait qu'elle l'en dissuade pensa-t-elle en se dirigeant vers sa chambre. Il le fallait même si son corps lui était contre, il en brulait d'excitation et de peur mêlé. Déjà les images de leurs deux corps nu se formait dans son esprit.

Elle secoua la tête pour faire disparaître ces images et enfila une longue robe à manche, des collants et des bottillons.

Voilà pourquoi elle cherchait tant à l'éviter. Il détruisait tout ses résolutions en un claquement de doigt, pensa-t-elle en s'asseyant sur son lit. Elle avait longtemps fuit les hommes où le peu qu'elle laissait s'approcher d'elle ne lui avait jamais fait cet effet. Mais cet homme !  Avec lui elle avait découvert en quelques semaines une panoplie de sentiment.

Elle souffla d'exaspération quand l'homme entra dans sa chambre sans prendre la peine de toqué. Rien de bien nouveau.

- Ont ne vous a jamais appris à frappé avant d'entrée dans la chambre d'une femme? Et si vous m'aviez trouver nu?

- J'aurais annulé notre petite escapade dans le désert et t'aurais fait l'amour ici dans ton lit jusqu'au petit matin si bien que tu en aurait perdu la raison.

Voyant la mine déconfite de la jeune femme, Rachid sourit et relava son menton de son index pour planté son regard dans le sien.

Qu'est-ce qu'elle était belle !

- Je rigole.

Elle fronça adorablement les sourcils et croisa les bras sur sa poitrine pleine et divinement dessinée qu'il rêvait tant de gouté.

- Vous n'êtes qu'un manipulateur sadique, lui cracha-t-elle.

- Sais-tu à qui tu t'adresse petite demoiselle ?

Elle rougit et baissa les yeux.

- Je ne suis pas petite.

- Bien-sûr que si, affirma-t-il calmement. Alors si tu ouvré encore ta jolie bouche pour osé de si  vilaine bravade  je te punirait à ma manière.

Elle frissona et il le senti.
Sans son accord il lui mit un léger voile doré qui ne couvrait que la partie inférieur de son visage après ses yeuxet l'entraîna hors de la chambre.

La nuit était belle dans le désert pensa Manuela regardant autour d'elle. Ils étaient sorti discrètement du palais avec un chameau sans en alerté personne. Seul les gardes le savait.

- Je n'arrivent pas a croire que je suis avec vous sur un chameau. Déclara-t-elle après de longue minutes de silence.

- Alors profite en. On arrive bientôt.

- Ou vas t'on? Et pourquoi somme nous sortie comme deux amants enfuit ?

Il lâcha un rire bref et enfui son visage dans son cou pour y déposé un baisé.

- Quelle délicieuse description! Je pourrait vous prendre aux mots.

- A ça non ! Il est hors de question que je devienne votre maîtresse.

- Et ma femme ?

- vous êtes déjà marié. Je ne comprendrait sans doute jamais les femme qui laisse leurs maris en épousé d'autre.

- Allah le permet.

- Je n'accepterait pour rien au monde partagé mon homme avec une autre.

- Quel possessivité, j'aime ça.

Pour l'amour du cheikh ( Tome 1)Where stories live. Discover now