Chapitre 11

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"Les blessures corporelles guérissent en 336 heures. Les blessures de l'âme peuvent saigner, toute la vie, il n'y a pas de temps nécessaire pour les guérir."
-Carlos Barra

Point de vue : Marie

      Je finissai de frotter le sol, quand soudain, je me sentis tirée en arrière. Jérôme. Un énorme sourire malsain ornait son visage et je compris que je ne pourrais pas rejoindre les garçons. En tout cas pas tout de suite.

PARTIE À NE PAS LIRE POUR LES ÂMES SENSIBLES

    Il me redressa, et me donna un coup de poing en plein sur mon visage. Un énorme craquement retentit dans la pièce, et la seconde d'après, une goutte de sang, suivie de plusieurs autres, tombèrent sur le parquet. Il m'avait cassé le nez. Je mis ma main sur mon visage, tentant vainement d'arrêter le sang.

FIN DE LA PARTIE

    Il releva la main, s'apprêtant à me refrapper quand un bruit se fit entendre dans le couloir. Nous nous tournâmes vers la porte comme un seul homme. Jérôme me regarda une dernière fois avant de plonger sous mon lit.

    Quelqu'un toqua à la porte, et je m'empressai d'aller ouvrir, craignant que ce ne soit l'un des garçons. Qu'allai-je pouvoir leur sortir pour expliquer l'état de mon nez?

     Mon inquiétude s'envola aussitôt en voyant Jana. Elle m'observa deux secondes avant de me tirer par le bras pour me faire sortir de la chambre, et, toujours sans un mot, m'entraîna vers les cuisines.

    Pourtant, en passant devant la baie vitrée qui menait au jardin, se trouvait Harry et Liam. Ils nous regardèrent passer, incrédules. Je baissai aussitôt la tête. Inutile. Ils m'avaient sûrement reconnue.

    Nous rentrâmes dans les cuisines et Jana me fit asseoir sur le plan de travail.

Jana: Tiens, prends de l'essuie-tout, je vais chercher la trousse de secours.

   Elle me tendis un rouleau.

Moi: Merci.

   Elle avait déjà disparut.

   Je pris deux, trois feuilles, mais elles furent inutiles. Je ne pouvais pas appuyer sur mon nez, ça me faisait trop mal. Soudain, la porte de la cuisine s'ouvrit, et cinq garçons en colère pénètrèrent dans la pièce.

    Niall s'approcha de moi, étant sûrement le plus calme.

Niall: Marie... Qu'est-ce qu'il s'est passé cette fois?

Moi: Euh... J'ai glissé, c'est ça ! J'ai glissé et je me suis mangé le coin d'un meuble.

Louis: Mais arrête de mentir, merde! T'en as pas marre?

Sauvée d'un enfer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant