S'évader: le livre dans la peau

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Hey toi! Bienvenue sur cette nouvelle, pour tout t'avouer j'ai écrie cette nouvelle pour un cours il y a deux ans, mais j'aurais voulu des avis extérieur.  C'est aussi la première nouvelle que j'ai écrite alors est n'est pas parfaite. Mais bonne lecture et n'hésites pas a partager, commenter et voté..

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Je vivais dans un appartement dans la banlieue de Sydney avec ma mère et mon petit frère. Du haut de mes 21ans, je terminais ma deuxième année de master en Littérature. Après mes études je voulais travailler dans une maison d'édition. La littérature a toujours été une passion. Après avoir appris à lire, je n'ai plus fait que ça. J'aimais être transportée dans les univers de Lewis Carroll dans Alice au pays des Merveilles. Cela me permettait de voyager dans un autre monde où tout pouvait arriver.

Il était 7h du matin quand le son strident de mon réveil m'arracha des bras de Morphée. Je me levais et pris une douche. Une fois maquillée, je m'habillais d'une robe de patineuse noire. J'arrivais à la cuisine où ma mère, qui venait de rentrer du travail, préparait le petit déjeuner. Je l'embrassai avant qu'elle aille se coucher. Une fois mon petit déjeuner pris, je me dirigeai vers le train en direction de Sydney.

Aujourd'hui samedi, je devais me rendre en ville pour un entretien d'embauche dans une librairie. Je voulais ainsi aider ma mère financièrement tout en payant mes études que je savais coûteuses. J'avais postulé donc postulé pour ce poste quelques jours plus tôt. La librairie, gérée par une vieille femme et sa fille, contenait des manuscrits anciens. Il m'arrivait souvent de me rendre dans cette boutique pour parcourir de vieux ouvrages qui avaient été déposés par des personnes qui désiraient s'en débarrasser.

Arrivée à la gare de Sydney, la foule était dense. Je devais me frayer un chemin vers la sortie. Certaines personnes ne faisaient pas attention. D'un coup je fus projetée à terre par un homme qui, en courant, me poussa violemment. Je sentis une douleur dans le bras là où l'étranger m'avait percutée. Tant bien que mal j'essayais de me lever en cherchant mon « agresseur » des yeux. Mais celui-ci s'était comme évaporé. Personne n'avait remarqué cette altercation et la vie reprit son court.

Une fois sortie de la gare, je pris le bus en direction de Botany Bay. 45 minutes plus tard j'arrivai à la baie. La librairie se trouvait tout près de l'arrêt de bus dans une ruelle reculée près d'un des restaurants du quartier. Après l'arrêt, je pris la première rue à droite et me retrouvai devant la maisonnette qui tenait lieu de librairie. Le bâtiment était vieux mais la façade bleu pâle de la boutique nuos invitait à y entrer. Au-dessus de la porte se dressait une planche de bois où l'on pouvait lire « Les quatre vents». Je respirai profondément, avançai avant de pousser la grande porte en chêne blanc pour enfin rentrer dans ce magasin.

Quand j'ouvris la porte, l'endroit était désert. Je regardai autour de moi à la recherche des propriétaires mais personne ne vint à ma rencontre. Je décidai donc de me montrer ma présence élevant la voix : « Bonjour, je suis Nora Hasting, je vous ai eu au téléphone il y a deux jours pour prendre un rendez-vous pour le poste que vous proposez. Il y a quelqu'un ? »

Aucune réponse ne me parvint. Je choisis de faire un tour derrière les étagères pour patienter. Dans les rayons, il y avait déjà un grand nombre de livres que j'avais déjà lus. Je continuai à avancer entre les étagères jusqu'à ce que j'atterrisse au fond de la boutique face à un mur blanc sur lequel était inscrite une citation d'Hamlet « Il faut que je sois cruel, rien que pour être humain. Commencement douloureux ! Le pire est encore à venir. ». Dans mon attente, je lus ces mots sans pour autant en comprendre leurs signification.

S'évaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant