Je n'aurai jamais du le laisser partir, j'aurai du le retenir, je sais pas ce qu'il m'arrivait mais je sentais que quelque chose de grave allait arriver et je m'en sentirai coupable de ne pas l'avoir retenu. Après ces quelques pensées, je me décide enfin à rentrer chez moi en tout discrétion vu ce qu'il se passe ce soir. J'arrive chez moi le coeur lourd, à peine ai-je passé le pas de la porte que Nabil me tombe dessus ! Nan pas encore lui p***n jamais il me laissera tranquille celui-là. Et sans rien comprendre il me colle une pêche mais wallah elle m'a mis au sol direct, j'ai rien vu venir wawouw
Moi : Mais t'es malade ! (en me tenant la joue)
Lui : Fais pas la folle avec moi, alors comme ça ça fait là p***e avec Naim, bien bien de toute ffaçon je savais le jour où je t'ai vu que tu valais pas mieux que toute ces Khemjette
Sur ces mots blessants je me relève et me dirige dans ma chambre sans me retourner. Plus les jours passent et plus il me détruit mais je ne doit rien lui montrer faut que je reste fort face à lui. Je sais ce que je suis ce que je vaus et c'est le plus important.
Arrivé à ma chambre, je m'effrondre, je libère toute ces frustration accumulé depuis que je suis arrivé ici. Mais d'un coup la porte de ma chambre s'ouvre, je veux pas qu'on me voit dans cet état alors je me cache sous mes drap
Hakim : Bien t'empire ton cas de jour en jour, en vrai...
Je le laisse pas finir, si il y a bien un qui pourra m'écouter et peut-être me croire c'est bien lui. Derrière ces airs de méchant, c'est quelqu'un d'attentif et surtout il suit juste Nabil. Faut à tout pris qu'il pense pas comme lui.
Moi : Hakim j'ai rien fait de mal ! Vous êtes la a me traiter mais même pas vous voulez savoir ce qui c'est passé
Lui : Rien à foutre ok
Il allait partir mais je me leve en courant et le rattrape
Moi : écoute moi stp Après ça si tu me croix pas c'est ton choix
Enfin il pose le regard sur moi et lorsqu'il voit mes yeux heu comment dire il était choqué. Fin bref il va s'assoit sur mon lit, je me met à côté et lui raconte tout depuis le début. Durant tout mon récit j'avais la tête baissée, je ne voyais pas l'expression qu'il dégageait mais à la fin il fit quelque chose qui me surpris Il m'a serré fort dans ses bras et est partis sans se retourner. Alors m'a-t-il cru ou non ? Je l'espère et sur ces quelques pensées je m'endormis.
Mais en plein milieu de la nuit quelque chose me réveilla. Je sens mon oreille vibrer, ah oui sûrement mon tel, je le prend vois que c'est un numéro non-enregistré. Allé je répond comme même
Moi : Allo (d'une voie hésitante)
**** : Bonjour Madame, je suis le docteur ****. Je vous appel pour vous avertir que votre mari à été admis chez nous
Quoi ?! Naim est à l'hôpital ! Je le savais qu'il allait se passer quelque chose. Mes mains se mettent à trembler, mon rythme cardiaque s'accélère et ma respiration j'ai du mal à respirer, mes larmes commencent à couler. Mais pourquoi est-ce que je me met dans un tel état ? Alors c'est ça ce qu'on nomme "Amour" ? Mais je veux pas, lui et moi ne sommes pas du même monde. J'étais la à réfléchir lorsqu'une voix me sorti de mes pensées
Docteur : Allo ? Madame ? Vous êtes toujours la ? Ne vous inquiétez pas ce n'est rien de grave. Je voulais juste vous avertir qu'il passera la nuit ici.
Moi : O... O... Ok merci (Tout en suffocant)
Et sans attendre sa reponse je raccroche et fond une fois de plus en larmes. Depuis que je suis arrivé ici ma vie à littéralement basculé, je me retrouve à pleurer pour un homme qui ne sais rien de moi, dois-je aller lui rendre visite ? A quoi bon m'attacher puisque bientôt je retourner chez moi. C'est le coeur lourd et la tête rempli de question que je me rendors.
Le lendemain, je me réveille fait mon rituel habituel et descend à la cuisine. La maison était vide, ma mère avait été au marché, mon père au travail quant à Hakim et Nabil beh j'en sais rien et en sah je m'enfou. Je déjeune, débarrasse puis je met mes baskets et sors direction l'hôpital. Je passe le trajet rien d'intéressant hein
Arrivé à l'hôpital, je me dirige vers l'accueil on m'indique la chambre de Naim. Je marche sans vraiment marcher, j'étais tellement ailleurs que je ne faisais attention à rien jusqu'à ce que je rentre dans une personne
Moi : désolé (la tête baissé)
**** : Fait attention la prochaine ( il avait aussi la tête baissée)
Et mais cette voix je la reconnaîtrais entre mille
Moi : Naim ?
Lui : aaaa ma sauveuse (en me prenant dans ses bras)
Moi : pourquoi t'es pas dans ta chambre?
Lui : Ça va Hamdoulillah et toi ? Ils m'ont laissé sortir, j'croyais pas que t'allais vnir
Moi : Ah smeh Hamdoulillah, ah beh tu vois que si (en lui souriant)
J'étais contente de voir qu'il allait bien. Il était la face à moi en pleine forme Hamdoulillah
On se dirige vers la sortie quand
