Chapitre 3 : Vous n'êtes que des cons.

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Point de vue Kylian

Une heure plutôt.

Je suis dans un putain de pétrin,

Je n'ai plus de drogues et cela me torture , j'ai un mal atroce dans la tête , j'arrive pas a dormi, allonge sur mon lit, j'essayais de me forcer à fermer les yeux, mais sans vain .

Merde

Je peux plus faire sorties de ma tête la dispute d'hier soir entre ma mère et ce mec qui lui sert d'époux, je m'oblige parfois à arrêter ma poigne avant qu'il entre en contact avec le visage de mon père, et cela devient difficiles ces temps si, il devint, de plus, en plus insupportable, je le hais, pour tout ce qu'il a fait subir à ma mère, parce qu'il n'était jamais là quand on avait besoin de lui, et parce qu'il ne mérite même pas que ma mère lui ait fait confiance et avait encore espoir en lui quand elle nous a mis dans ce monde Lisa et moi, je ne m'arrête pas parce que j'ai peur de lui,  je peux lui faire avaler toutes ses dents, mais je le fais surtout pour que ma mère n'ait pas plus de chagrin qu'elle subit déjà, et pour le petit lien de paternité qui nous lie encore.

Aujourd'hui, dans le matin, j'ai juré au téléphone à Lisa que si ma mère pleure encore une fois à cause de lui, je ne pourrais pas être responsable de mes actes avant de raccrocher.

Elle au moins elle a pu créer une vie loin de nous, elle est mère d'une petite fille, est enceinte de 4 mois, elle mène, une vie paisible avec son prince charme , un riche héritier, contrairement à moi ma mère rejette toujours ses demandes quand elle l'invite à vivre avec elle, elle dit qu'elle a besoin de prendre soin de ce crétin de mark, et je les rejette pour prendre soin d'elle.

Quand je pense au fait que quelque chose lui arrive cela m'énerve encore plus.

Je dois absolument trouver quelqu'un pour me filait de la drogue, même si c'est juste pour cette nuit, pour que j'arrive enfin à calmer mes nerfs.

Je prends mon téléphone et j'appelé Shane, mais je tombe sur son répondeur, putain je ne connais plus personne d'autre, l'idée de ne pas recommencer me traverse l'esprit, c'était dur d'arrêter et j'ai pu me retenir pendant un bout de temps , mais je peux plus là, Eric sera sûrement comment m'aider, je compose son numéro :

-Allô ! J'entends de la musique

-t'es où ?

-J'E SUIS A LA FETE DE  LA FRATERNITEE.

Génial

-Ecoute, j'ai besoin de ton aide

-Attends, je sors je n'entends rien

-J'ai dit qu'il faut que tu m'aides.

Le bruit et maintenant loin.

-Trouve-moi quelqu'un pour me filais de la drogue

-T'inquiet mec, je conne quelqu'un ici, ramène vite tes pieds

-Ok, je serais là-bas dans quelques minutes.

Je raccroche.

10 minutes plus tard gars ma moto devant l'immense.

Fraternité, la maison est pleine, ça sent le vomi dans le jardin, et les gens qui sont collés et partagent leur salive sont plus nombreux que les doit de mes mains.

Évitant ses paysages, j'entre et commence à chercher Eric, mais je ne le trouve nul part, ni Eli d'ailleurs. De loin, je remarque la fille qui est toujours avec Eli comment s'appelle t'elle déjà , Caro, elle aurait probablement vu l'un ou l'autre, ou moment où je commence à avancer vers elle deux filles se collent sur mes bras

#BreatheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant