La vie c'est un cube...mdrr

mdr

J'arrive dans la salle de science, personne. Les chaises sont vides, le pupitre de maître aussi. Derrière cette table se trouve une porte, personne n'y est jamais entré. Elle reste là à nous observer, chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque jour.

« Ce ne peut faire du mal à personne d'apaiser ma curiosité » je tourne la poignée et ouvre la porte. Je rentre.

Petit réduit. La lumière éblouissante reflète sur la neige dehors. Quelques plantes sont placées pour essayer de donner plus de vividité à la pièce. Un frigo est debout, des aimants ne tenant rien y sont collés, surement là où sont cachés les cors mdr. Une boite a été soigneusement posée sur la table du bas « Ultimaker2R ». J'y jette un coup d'oeil; sept plaques portant des noms d'élèves y sont inscrit, un des noms est suivi d'un smiley.

Un micro-onde est aussi stationné au fond de la pièce sur une table. Il porte une machine à café, sûrement pour le sauver d'une inondation - True love - sauf que ce n'est pas possible; on habite en montagne.

Une porte s'ouvre, il laisse echoer un grincement strident mais se fait vite suffoquer par un cri. Ce dernier ne dure qu'un dixième de seconde, et n'est pas assez fort pour alerter qui que ce ne soit.

Le corps se fait transporter en bas des escaliers, au font du couloir à gauche. Des lettres brodés en or écrivent « Salle de science ».

Pas par pas - et non pas non par non - le corps et son transporteur entrèrent, une porte se montra à lui, caché, il l'ouvrit. Un frigo taille pour cacher un corps était à disposition. La suite lui était donc logique.

« Ultimaker2R » nouveau, mieux et selon les élèves: dope. Pour un essaie il décidèrent de prendre la meilleure classe. Leurs noms notés, on met la machine en route. Malheureusement une étiquette étais mal formé. Un petit smiley fut donc ajouté en guise de pardon.

« - Mamma mia, dit Delizio; l'eau, il y en a partout.

- On va tous mourir, lui répondit Fust, vite mine Leber, grimpe sur mon dos.

- Ce... JE... mais on vas mourir.

- Je ne pourrais pas vivre en sachant que mon aide n'as étais rien.

- Pas de sense, on se reverra.

- On se retrouvera. »

Le concierge sortit de la salle