Ensemble, On Atteindra Les Étoiles

Le début de la fin.

Chapitre 46

Dans la peau de Andrea:

Ce matin je me reveille avec la ferme intention de comprendre ce que Samuel a!
Hier j'ai beaucoup parler avec Clara et elle m'a conseillé d'insister pour que Samuel me dise son problème. C'est ce que je vais faire, il ne m'a pas appelé ni envoyé de message de toute la journée d'hier et en plus il était tellement bizarre avec moi que je me dis que son problème doit être grave!

Je m'habille et je me dirige vers son bureau. J'arrive et on m'informe qu'il a pris ses congés hier. Bizarre, Samuel ne prend jamais de congé donc il a dû lui arriver quelque chose de vraiment grave, celà m'inquiète encore plus.
Je vais alors chez lui en espérant le trouver la bas.

Je toc plusieurs fois et personne ne m'ouvre, je pourrais dire qu'il est sorti mais sa voiture est là, je commence à stresser. Il ne serait pas parti sans sa voiture et encore moins sans me le dire!
Je l'appelle mais en vain, aucune réponse!
Je toc encore et encore sans succès. Il serait fâché contre le monde au point de m'ignorer à ce point?

Non, il ya quelque chose qui cloche! Je ne sais pas mais j'ai un mauvais pressentiment.

J'appelle alors la police, là je suis clairement paniquée. Pourvu qu'ils arrivent vite!

En attendant les policiers, je l'appelle encore sans succès. Je cris son nom et aucune réponse. Je tourne en rond et mon stresse n'arrête pas de monter.

20 longues minutes plus tard, la police  arrive suivie d'une ambulance.

- Vous êtes Andrea Desousa?
- Oui c'est moi, faites quelque chose. Ce n'est pas normal. Dis je en panique.
- Calmez vous mademoiselle vous êtes là depuis combien de temps?
- Presqu'une heure, il n'a pas l'habitude de fermer sa maison à clé et en plus sa voiture est là donc il n'est pas sorti. Jessaye d'expliquer.

Le policier hoche la tête et se tourne vers la porte d'entrée. Il frappe à plusieurs reprises et aucune réponse.

- Si vous n'ouvrez pas, nous serions obligé de passer par la manière forte. Il dit et encore une fois aucune réponse.

- Il ne faut plus attendre, on doit défoncer cette porte. Un autre policier dit.
Alors le premier va en arrière et cours en vitesse bousculer la porte à plusieurs reprises sans succès. Donc ils se servent d'outils pour casser le poignet et enfin la porte s'ouvre!

Sans plus attendre, je fonce dans la maison direction sa chambre et les policiers et les pompiers me suivent. Il n'y a personne là bas donc je vais dans sa toilette et là, j'ai été stoppée direct avec ce que j'ai vu.

Il est couché dans une marée de sang la main gauche tenant son bras droit, la main droite complètement ouverte au point de voir sa chair en sortir.
Des morceaux de verres partout sur le sol, et lui inconscient.

Je suis clouée à ma place, sans pouvoir bouger ou parler, regardant l'amour de ma vie abandonné dans les bras de la souffrance, ou peut être même de la mort!

Les pompiers le prennent et l'amène vite pendant qu'un policier est entrain de m'interroger sans que je puisse répondre.

- Mademoiselle, vous allez bien? Il demande mais je ne dis rien. Vous êtes devenue tout à coup pâle, êtes vous choquée par la découverte que nous venions de faire?

C'est à ce moment que j'arrive à m'exprimer, pas la meilleure manière qui soit, mais quand même d'une façon ou d'une autre.
Mes larmes commencent à couler et je me sens rougir.
- S'il...vous plait...prevenez ma mère. J'arrive à dire difficilement et le policier est très compréhensif car il hoche la tête et prend mon téléphone des mains. Il appelle ma mère et lui explique brièvement. Il lui donne l'adresse de l'hôpital.