Chapitre 1 : La fuite dans les cris

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Le Hueco Mundo d'ordinaire d'un doux et agréable calme, était devenu d'une brutalité bruyante. Même en courant bruyamment avec mon sabre , les cris de terreurs, de guerres, de haines et de tristesse, couvraient entièrement ma fuite. Je ne suis pas un fuyard ! Si ? Non ! Je suis simplement les ordres de dame Halibel...

-« Fuyez ! » tel étaient ses ordres...

Je ne pu m'empêcher de sentir le désespoir dans sa voix. Après plusieurs heures de fuites , je me retourna et c'est là que j'ai vu. D'ordinaire si parfait , Las Noches était mit à feu et à cendres par les Quincys. C'est également à ce moment là que je me suis rendu compte que j'étais seul. Je suis le seul à avoir pu m'enfuir ? Que faire maintenant ?

Trop de questions pullulaient et polluaient mon esprit. Je repris ma fuite dans le sens opposé au palais du Hueco Mundo. Je tenais fermement non sans tremblais mon sabre , j'avais peur. J'avais peur...

Peur de croiser un escouade du Vandenreich. Que pouvait faire un arrancar qui ne sais combattre face à des soldats ?
Je pus apercevoir après quelques heures de marche une petite grotte s'apparentant plus à un trou. Mais assez grande et cachait pour m'y reposais. J'entra donc dedans , personne , évidemment , ce n'est pas le Monde Creux pour rien. Après m'être assis au fond contre une paroi , je souffla , je dégaina mon Zanpakuto pour regarder la lame. Dans le reflet de cette dernière je pus apercevoir mon masque , il étais petit en soit. Juste un petite pair de cornes sortaient de mes cheveux roux . Un petit ricanement sortit de ma bouche , ça me rappelais le petit surnom que me donnait Apache : « le rouquin ». Ça m'énervais , mais je donnerais tout pour l'entendre m'appelais comme ça. Dame Halibel préférais visiblement mon nom que mon prénom.

Je la revoit parfaitement dire : « Qui t'a mit dans cette état Mariquo ? ». Et (quasiment) tout les autres m'appelaient Hébra , tel était mon prénom. Je ne l'appréciais pas trop , j'aurais aimer un plus viril et masculin pour compenser mon physique.

C'est fou à ce que l'on peut penser quand on connaît la vrai solitude.

Sans m'en rendre compte je m'étais endormi. Combien de temps avais-je dormi ? Là n'était pas la question. À qui était les voix qui m'avais réveillé ?! Et où sont t'elles ? En dehors de la grotte visiblement. Par réflexe j'attrapa mon sabre et tendit l'oreille. J'entendit deux hommes parlaient , mais qui étaient ils ? Amis ou ennemi ?
-« Tu vois quelques chose Siegfried ? »

Siegfried ?! C'est un nom Quincy ! Le seul fait d'entendre ce nom me tétanisa par la peur.

-« Non rien . Du sable , du sable , attends...ah non du sable. »
-« tu te crois drôle j'imagine. »
-« oh ça va , détend toi un peu. »

Je compris assez vite qu'ils étaient au dessus de moi , ce servant de la grotte pour ce surélevaient et mieux observer le désert blanc.

-« La mission du Jagdarmee n'est pas à prendre à la légère. »
-« Le capitaine Quilge Opie ne m'en voudra pour avoir fait un petit trait d'humour. »
-« Regarde le sort qu'il réserve au Arrancar faible , qu'est-ce qui l'empêcherait de faire de même à un Quincy qui ne prend pas au sérieux la Guerre Sainte ? »

Le Quincy ce fessant blâmer soupira alors.

-« T'est vraiment un rabat-joie Hayden . Allons faire notre rapport plutôt. »

Après quelques secondes ils partirent. Mais moi entièrement effrayé je ne pus me mouvoir , alors je resta là sans bouger totalement apeuré. J'ai finalement réussi à reprendre mes esprits, je regarda discrètement au abord de la grotte si je voyais ne serait-ce que l'ombre d'un archer. Mais personne, alors en tenant mon sabre je partit en courant dans la direction opposé à celle des éclaireurs Quincy

Pendant ma course je me posa malgré la peur qui me tiraillait , plusieurs questions. La première était : étaient-ce des éclaireurs ? Si c'était le cas , Le Vandenreich vont-ils passé le Hueco Mundo au peigne fin ? Quel sort réserve t'ils au Arrancar « faible » comme ils disent ? Et que font-ils des « forts » ?

Sans m'en rendre compte je laissa une traînée de larmes derrière moi. On pouvait me suivre à la trace à cause du sillage que formait mes larmes sur le sable blanc. Alors je les essuyèrent tout aussi tôt pour que l'on ne puisse pas me pister. Pendant que j'essuyais mes larmes , je regardais en même temps l'éternel croissant de Lune observant sans pouvoir rien faire le Hueco Mundo.

Je n'y avais jamais vraiment prêté attention, mais c'était magnifique. Elle était si proche mais si lointaine à la fois . En même tant que je courais poursuivi par la peur , je tendit la main vers l'astre . Et je jurerai l'avoir effleurée , cette très certaine hallucination m'avais redonné de la volonté et du courage. Je ne courais plus pour fuir mais pour trouver de l'aide.

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⏰ Last updated: Mar 03, 2019 ⏰

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