[ Terminée] « « 1er Tome
« « Histoire à caractère homosexuel.
Juste se faire briser le cœur par une femme...
Partir, supplier...
Arriver dans un nouveau club et le retrouver...
Sous les tensions, les non-compréhension, les matchs, les soirées...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.
Nos lèvres se trouvent de nouveau, ne se quittant plus tandis que ses doigts viennent caresser ma nuque avec douceur.
Mes mains glissent le long de son torse, passants sur ses pectoraux puis ses abdos avant de se stopper sur son ventre.
Je ne veux pas le brusquer, après tout c'est encore nouveau pour lui. Je préfère le laisser prendre les choses en mains.
Toni plonge ses beaux yeux dans les miens avant de m'attirer de nouveau à lui et m'embrasser avec passions.
Sa main glisse le long de mon jean et s'arrête à la fermeture écl air de celui-ci avant de la baisser et de déboutonner mon jean. Sa main passe alors sur mon entre-jambe gonflé de désir pour lui et le blond me fais basculer sur le lit.
Avec tant bien que mal il parviens à s'allonger sur moi, grimaçant quand mon pied effleure sa cheville. Je lui caresse la joue doucement :
-Laisse Toni... On va trouver une position plus confortable et...
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que Toni est déjà descendu plus bas et m'a ôté mon boxer, libérant ma virilité qu'il attrape en bouche.
Je gémis bruyamment, rejetant ma tête en arrière. Putain le con...
Il sait exactement comment s'y prendre et une vague de colère m'envahi quand même un peu. Si Melendez ne l'avais pas forcé à faire certaine chose, jamais le blond n'aurais fait ça avant moi.
Je gémis, me cambre, savourant le plaisir que la bouche du blond me procure. Il fini par se dégager et remonte le long de mon ventre et mon torse, parsèment celui-ci de légers baisers.
Quand il arrive au niveau de ma bouche, il pose ses lèvres sur les miennes avec amour, me provoquant un vol de papillon dans l'estomac.
Ça c'et de l'amour, nous deux c'est une histoire d'amour...
-Julian...
Je croise son regard de nouveau et comprend ce qu'il veut. La même chose que moi, que nos corps ne fassent plus qu'un.
Je le bascule doucement sous moi et plonge de nouveau sur sa bouche. Tout en l'embrassant et le caressant, ma main lui retire son short et son boxer avant de venir caresser son sexe, le faisant gémir.
Aux vues de sa blessure, Toni n'est pas en mesure de me faire l'amour. Un jour, j'espère qu'il le fera...
A moi donc d'assurer et lui montrer que le sexe avec un homme, quand on est amoureux, ça n'a rien à voir avec la baise que va lui infliger quotidiennement Melendez.
Je le caresse, jouant avec mes doigts, le faisant gémir, les yeux clos et la respiration saccadé.
Une fois qu'il est prêt, je le surélève légèrement avant de me présenter à lui :
-T'es sûr de ton coup ?
-Drax...
Je plonge mon regard dans le sien et y vois ce que je n'ai pas vu depuis longtemps : de l'amour, du désir, de l'envie :
-Vas s'y...
Je le pénètre doucement, attendant à ce qu'il s'habitue à ma présence, avant de commencer mes coups de rein.
Sa respiration s'accélère et ses gémissements me rende dingue, m'obligeant à me mordre la lèvre pour ne pas m'exprimer avec puissance. Pourvu que Mes' et Ed ' occupent suffisamment Melendez pour ne pas que cette sale fouine vienne écouter à la porte.
Mais Toni s'agrippe aux draps de ce lit de fortune et ses gémissements se font de plus en plus fort à mesure où mes coups de rein s'accélère.
Mes yeux étaient jusqu'à présent clos mais je fini par les ouvrir. Maintenant, je comprends quel plaisir, aussi pervers qu'il soit, prend Melendez avec Toni.
La vision du blond est juste existante. Les yeux clos, il se mord la lèvre en gémissant. Sa respiration est saccadée et je sais qu'il est monté au plus haut, surtout quand il ouvre la bouche soudainement, signe que j'ai attend sa prostate.
Il ne me faut que quelques coups de rien supplémentaire pour envoyer mon blond au septième siècle, moi le rejoignant quelques secondes plus tard.
Je m'écroule alors sur lui et ses bras passent autour de ma nuque. Ma tête est posée sur sa poitrine, au niveau de son cœur et celui bas très rapidement.
Je me décale sur le côté et le prend dans mes bras, sa tête dans mon cou :
-Ca va Toni ?
Il hoche la tête positivement et j'embrasse ses cheveux blonds. Il est parfait...
Et dire que c'est l'autre ordure qui va profiter de lui...
-Jul' ?
-Hum ?
-J'aurais aimé que ce moment dure une éternité. J'aurais aimé passer une éternité dans tes bras.
Sa voix est teinte d'une note de tristesse et je le sers plus fort contre moi. Quand je quitterais cette chambre, tout sera terminé...
Julian Draxler et Toni Kroos, cette histoire ne devra jamais avoir existé...
