#14 ; a areola FR

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Pour SILKY1997 (je nsais pas si elle aime AA mais elle va faire avec car j'ai peu de respect pour les madridistas)

Pour SILKY1997 (je nsais pas si elle aime AA mais elle va faire avec car j'ai peu de respect pour les madridistas)

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-JE SUIS vraiment désolé.

Morgane l'ignora.

-Mo ? J'ai dit que j'étais désolé.

-J'ai entendu, Alphonse.

Le gardien français soupira, regardant sa main. Elle était sûrement cassée. Ce qui était un peu embêtant par rapport à son travail.

-Je serais de retour sur les terrains dans genre, deux mois max. C'est pas si grave.

-Ouais.

Il soupira de nouveau.

-Pourquoi t'es fâchée ?

-Parce que comme d'habitude, tu as décidé que tu pouvais tout faire.

-J'essayais de t'aider !

-J'aurais pu le faire moi-même.

Alphonse ouvrit la bouche pour rétorquer avant de secouer la tête.

-J'essayais juste de t'aider, il répéta. En tant que famille.

Elle soupira à l'entente de ces mots. Il utilisait beaucoup cette excuse ces derniers jours, sûrement parce qu'il savait à quel point c'était important pour elle.

-Je veux qu'on ait le meilleur Noël possible, il ajouta et elle savait qu'il le pensait. C'était son premier Noël avec Alphonse, son premier Noël sans ses parents.

-On va passer un joyeux Noël. Mais tu auras la main cassée.

Il rit, et elle sourit. Au moins, elle n'était plus fâchée.

Le téléphone d'Alphonse commença à sonner, et il grogna quand il vit que c'était Marrion.

-Oui ? répondit-il sèchement, et Morgane leva les yeux au ciel. Tu ne peux p--Marrion, je suis à l'hôpital. Qu--

Il fronça les sourcils et regarda son écran : elle lui avait raccroché au nez.

-Je la déteste.

-Ne dis pas ça.

-Je le dis maintenant parce qu'elle va déposer les filles ici et une fois qu'elles seront là, je ne pourrais plus le dire.

-Attends, quoi ? Tu lui as dit que tu étais à l'hôpital et elle veut toujours que tu t'occupes des filles ?

-Elle a dit qu'elle avait un rendez-vous, il leva les yeux au ciel.

-C'est peut-être vrai, Morgane fronça les sourcils, et Alphonse haussa les épaules.

-Je m'en fiche complètement. Elle est juste agacée parce qu'elle pense toujours que je l'ai quitté pour me mettre avec toi.

-Elle t'a trompé bien avant, Morgane haussa un sourcil, et Alphonse soupira.

-J'ai mis beaucoup de temps à réaliser à quel point elle est égocentrique.

Ils restèrent silencieux jusqu'à ce que Marrion arrive, Ayleen-Grace et Aymma-Lyse derrière elle.

-Papa ! dit la petite--un des seuls mots qu'elle savait dire pour l'instant--pendant qu'Ayleen-Grace faisait un câlin à Morgane.

-Bonjour Morgane, elle souffla, et Morgane sourit.

Marrion les fusilla du regard, mais elle ne fit aucun commentaire. Elle n'aimait pas Morgane--surtout parce qu'elle n'aimait pas le fait que son ex-mari sorte maintenant avec une jeune femme de dix-neuf ans. Et que ses filles l'aimaient beaucoup.

Marrion partit et c'est le moment que choisit le médecin pour examiner la main d'Alphonse.

-Vas-y, je reste avec les filles, sourit Morgane, et Alphonse se sentit coupable, mais il n'avait pas le choix.

Ils lui firent une radio, et le verdict fut sans appel : sa main était cassée. Le médecin la plâtra.

-Comment vous vous êtes fait ça ? Ce n'était pas pendant un entraînement, n'est-ce pas ?

-Non, non. J'ai juste...voulu porter un sapin et il est tombé sur ma main.

-Je vois. Soyez plus prudent la prochaine fois.

Le médecin le laissa partir, et il retrouva Morgane et les filles toujours à la même place. Aymma-Lyse était à moitié endormie dans les bras de Morgane, tandis qu'Ayleen-Grace lui expliquait quelque chose avec de grands gestes.

Alphonse sourit. Il était tellement fier de voir que ses filles étaient si proches de Morgane. Il savait qu'elles ne comprenaient pas vraiment ce qui se passait, mais elles l'aimaient beaucoup, et tout ce qui comptait.

-Hey, il dit en s'approchant, allons-y.
Une fois dans la voiture, Aymma-Lyse s'endormit, mais Ayleen-Grace n'était pas du tout fatiguée.

-Morgane, est-ce que tu seras là à Noël ?

-Oui.

-Bien sûr qu'elle sera là, Alphone ajouta : il voulait que ses filles comprennent que c'était quelque chose de normal, maintenant. On sera nous quatre, et aussi papi et mamie.

-Mais, Morgane, ta maman et ton papa seront pas là ?

-Non, elle répondit, se mordant la lèvre. Ils sont fâchés contre moi, alors ils font la tête pour l'instant.

-Fâchés ! Qu'est-ce que tu as fait ? demanda la petite fille, surprise.

-Ils ne comprennent pas que j'aime ton papa et qu'on va avoir un bébé.

-Quoi ? Mais c'est trop bien d'avoir un bébé ! Ils sont bizarres. Mais c'est pas grave, parce que ma petite sœur et moi on aura un papi et une mamie qui sont les mêmes, et moi, et Aymma-Lyse, et vous deux.

Elle sourit, et si elle ne conduisait pas, elle l'aurait probablement prise dans ses bras.

-Je vous aime, dit Alphonse, et Morgane mit quelques secondes à comprendre qu'il parlait à tout le monde dans la voiture.

🎄 Demain : un joueur du FC Barcelone 🎄

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