chapitre 2

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Plus tard, pendant que Dylan était entrain de transporter le mortier avec la brouette pour servir ses collègues, il fut attiré par une conversation entre Orchel et leur vigile.

Orchel: Mr René , quand je fais mes achats surtout pour mes fringues; on ne peut pas me tromper.

Vigile: il ne faut pas dire ça car il y aura quelqu'un qui te frappera. On ne dit jamais ''jamais''.

Orchel : ce n'est pas faux. Par exemple j'étais au marché de pk14 dernièrement et j'ai pris quatre pantalons à 7000f. Le vendeur voulait que je lui donne 15000f. J'ai donné mon prix et je suis resté dessus. J'ai finalement gagné (rires). On peut me tromper peut-être sur les chaussures mais les vêtements, non.

Vigile: en tout cas, ce n'est pas comme ça avec tous les commerçants hein. S'il t'a laissé ces habits à ce prix, c'est qu'il y trouvait son compte.

Ils continuèrent leur discussion ainsi. Un moment, Dylan sentit le regard insistant d'Orchel sur lui comme si elle voulait qu'il ait son temps. Il n'en tenait pas rigueur et continua son travail. Dylan a toujours séparé la vie privée et le travail. D'ailleurs c'est l'une des raisons pour lesquelles il est célibataire. Il ne souhaite pas avoir de distractions dans la quête du succès. Elle finit par faire le premier pas.

Orchel: vous allez finir aujourd'hui ?

Dylan: non.

Orchel : vous pouvez finir quand?

Dylan: nous pensions accélérer pour finir dimanche mais le responsable du chantier nous q attribué plusieurs autres tâches donc ça prendra plus de temps.

Vigile: vous travaillez le dimanche ? Peu de gens le font hein...

Dylan:  c'est vrai. Nous n'avons pas de pression car ce qui compte c'est qu'on soit en forme et on pourra travailler.

Orchell: ah bon?!!

Dylan: bien sûr.

Il abrégea la discussion pour continuer son boulot. Ils ont finis de travailler ce jour là à 22h.

Relation Inter(dite)Where stories live. Discover now