«Chapitre - VIII»

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Isaac : Oui.. mais c'était soit lui soit moi Ima !

J'ai préférer ne rien dire retourner dans notre chambre, de laquelle You sortait.

Quelques jours plus tard, alors que la petite cousine d'Isaac, Hafsa âgée de 17 ans est à la maison, on est toute les deux sur le canapé elle me demande..

Hafsa : Ima, raconte moi ton histoire avec Isaac.

Moi : T'es sûr que tu veux vraiment tout savoir ?

Hafsa : Oui.

Moi : Alors ....

▶ RETOUR VERS LE PASSÉ ◀

Je suis sur le point de fêter mes 17 ans, mes parents son décédés depuis bientôt 2 ans, je suis en famille d'accueil dans une cité de la banlieu parisienne, j'ai d'ailleurs grâce à ça retrouver mon grand frère Kais.

Je vais à la salle de boxe, mon entraîneur Moha me prévient que j'ai un combat amicale contre un grand du quartier. Je prenais plus se combat à la rigolade. Bref je rentre chez moi prendre ma douche, je m'habille petit slim noir, chemise longue noir, une veste de blazer blanche et des petites Lacoste blanche avec une queue de cheval haute.

Je regarde l'heure, il est 13h30, je prend mon sac et part attendre le bus, à l'arrêt je retrouve Amra ma meilleure shab.

Amra : Wesh Bagra ! Sa se met en mode ou quoi ?

Moi : En mode de quoi hambouk ? Bref les profs ils ont dit quelques choses que je sois pas là se matin ?

Amra : Rien, ils ont l'habitude que tu vienne pas le matin maintenant.

Moi : Oh j'ai vus ton homme.

Amra : Alors ? Il t'a dit ?

Moi : Pour mon combat contre un grand ? Ouais.

Amra c'est la hlel à Moha, mon entraîneur.

Donc on va au lycée, la journée passe. Je vous passe jusqu'au combat, j'arrive sur le ring, mon adversaire est déjà là.

Je le regarde dans les yeux, il bloque sur moi, la cloche sonne je me met en garde, je rigolais quand je le voyais, il bouger pas, il me regardait encore.

Il fait signe à l'arbitre qu'il déclare forfait, je regarde Moha, il m'appel.

Moi : C'est quoi ce bordel ?!

Moha : Il veut pas te toucher.

Moi : Je m'en fou ! Ramène moi quelqu'un à boxer !

Moha : Ok.

Je vois mon adversaire descendre, et en le voyant descendre je me suis rendus compte qu'il était magnifique mddr.

Donc il descend du ring puis se met à côté de Moha et me fixe, quand je vois les cordes bouger, je lève ma tête et je vois Kenza, mon ennemi number one !!! Je lui fais un sourire mauvais, la sonne cloche et c'est partie !

Je l'ai détruit, je lui ai mis un crochet du droit elle est tomber KO ! Moha il a commencer à gueuler comme un fou ! Mddr à croire c'était le championnat du monde.

Bref, je descends du ring, je pars me doucher, je me rhabille. Quand je sors du vestiaire la salle est vide, je m'apprête à sortir quand ...

? : Oh ! Attends !

Je me retourne et je vois mon adversaire.

Moi : Désolé, j'ai pas le temps.

Et je suis vite rentrer chez moi.

Les semaines passent, j'étais dans le parc, avec Nabyl, alias Bilyz.. on s'embrouillait comme tout couple normal.

Nabyl : Je rigole pas avec ta gueule Ima ! Je veux pas que tu monte en moto !

Moi : Mais pourquoi ? Ya rien de mal !

Nabyl : Parce que ! Imagine tu te plante avec ! Je fais comment moi si t'es plus là ?!!

Moi : Omri.. alors je peux au moins monter avec toi ?

Nabyl : Que avec moi Ima saha ? Monte sans moi et on verra ok ?

Moi : D'accord...

J'ai fais ma petite tête triste qui le fait craquer.

Nabyl : Ah ! Arrête tu sais que je résiste pas !

Il me tire dans ces bras.

Nabyl : Je dis ça pour ton bien Hayati.

Nabyl et moi sa faisait 6 mois qu'on était ensemble. Tout le monde était au courant de notre relation, d'ailleurs ces meilleurs shab Isaac et Younes gardait toujours un oeil sur moi..

Je réfléchissais à ce que pouvait nous réserver l'avenir... quand Nabyl me sort de mes pensées.

Nabyl : Ima .. ?

Moi : Hm ?

Dans sa voix je sentais qu'il était pas bien, qu'il hésiter à me dire quelque chose.. mais je n'ai rien demander, je connais très bien Nabyl, si il veut te dire quelque chose, il te le dira, mais si il veut pas, ça sert à rien de chercher.

Nabyl : Sah, je t'aime Fahima wAllah je meurs pour toi..

Je le regarde, le sourire aux lèvres, pour la première fois il me dit je t'aime.

Moi : Je t'aime aussi Bilyz.

Il m'ébouriffe les cheveux, tout en rigolant.

Nabyl : T'es ma femme, t'as pas à m'appeler Bilyz..

Il me regardait en souriant puis m'embrassa. L'après midi continue, Nabyl et moi on rigole bien, quand on se fait interrompre par un raclement de gorge, on se retourne et devant nous se dresse Isaac....

Femme d'un criminel.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant