Black Sun

Chapitre 3 partie 2

  - T'avais l'intention de le draguer ?

- Bas, il est plutôt carrément canon sérieux.

- C'est vrai qu'il est pas mal.

- Pas mal ?! Juste ça ?

- Ne vous enflammer pas les filles, ça se trouve, c'est un vrai con ce gars.

- Pour une fois, je suis d'accord avec Katherina lâcha Kathy.

- Et ça se trouve de près il est un peu moins attirant.

- Encore une fois d'accord avec elle. 

- La sonnerie retenti et nous repartîmes toutes dans nos classes avant la fin de journée.

Une fois le dernier cours achever, tout les adolescents prirent en même temps la sorti, ce qui au passage bousculais pas mal de monde, y compris moi.

Sortant saine et sauve de ce gros troupeau, je respirais un bon cou avant de prendre la route.

Je n'avais absolument pas envie de rentrer chez moi pour tous les voir.

- Ça va aller chez toi ? Me demande soudainement Kathy.

- Ouais, ne t'en fais pas, je vais gérer comme d'habitude.

- Appelle-moi s'il y a un soucis.

- Merci

Je la regardais prendre la route comme tout les autres avant elle et cela me donnais encore moins envie de rentrer chez moi.

Contrainte et forcée, je pris la route en me demandant ce que j'allais trouver à mon retour à la maison. Je ne savais même plus si je pouvais considérer cette baraque comme chez moi vue que des intrus venait s'incruster dans celle-ci.

Le dernier virage et plus qu'une ligne droite avant d'arriver. En rentrant à l'intérieur, le calme restais de vigueur pour mon plus grand bonheur, je ne savais pas où ils étaient partis, mais ils étaient partis, c'était le principal.

Les heures passèrent, les jours passèrent, la semaine passa et le match arrivait. Au grand étonnement de tout le monde, notre équipe de football gagna.

Et il se passait ce qui devait arriver, la soirée, cet homme dans les bois, mon accident...

Ces mots résonnèrent dans ma tête alors que jetait sensé être morte depuis longtemps.

- Je t'avais mise en garde.

Tranquillement, je me réveillais, mais quand j'ouvris les yeux, et bien, je vis une chambre. Pas d'hôpital, ou de lumière blanche pour aller au paradis.

- Tu as des pensées bien étrange ma petite Katherina.

Me redressant si rapidement je fis grincer le lit. Et a l'autre bout de la pièce, une personne était tapi dans l'ombre d'un recoin.

- Ne t'inquiète pas, tu as été bien soigné par mon père, tu devrais être sur pied dans quelques jours.

- Pourquoi je suis ici ?

- Par ce que tu as eu un accident de voiture.

- Pourquoi je suis pas à l'hôpital ?

- Car tu es sensé être morte Katherina.

- Morte ?!

- Exactement.

- Et pourquoi je ne le suis pas alors ?

- Ça, c'est une autre histoire.