Black Sun

Chapitre 4 partie 1

  - Comment ça une autre histoire ?

- Je devrais partir moi.

Sans pouvoir ajouter une autre parole de plus, il s'éclipsa de la chambre.

- Maintenant dors.

Sans pouvoir protester mon corps sombrais dans un profond sommeil.

Des rêves vraiment étranges hantaient mon esprit.

Quelques heures plus tard, je me réveillais une nouvelle fois, mais cette fois-ci dans ma chambre. Paniqué, je descendis en trombe les marches. Personne ne devait être la, il n'était que 17 h 00. Mais à mon grand étonnement la porte d'entrée s'ouvrit sur yoga-man.

- Alors comment vas tu Katherina ?

- Euh bien, mais quel jour somme nous ?

Il rigolait avant de me répondre.

- Et bien a ce que je vois la soirée de vendredi ta vraiment mise dans tout tes états.

- Comment ça ?

- Katherina nous somme dimanche, tu es rentrée hier soir complètement soûl.

- Ah, mais oui quelle idiote j'avais oublié.

Rigolant de plus belle il partit à la cuisine.

- Je crois que tu devrais te recoucher avant l'arriver de ta mère.

- Elle a eu une urgence au travail ?

- Oui, heureusement, elle t'aurait passé un vrai savon si non.

- Ça j'en doute pas une seconde.

La porte d'entrée commençait à s'ouvrir et Mark m'incitait du regard monté les marches, ce que je fis s'en perdre plus de temps. Nerveusement, je m'assis sur mon lit et commençais a ronger mes ongles. Mais que c'est-il passé. J'entendis ma mère discuter avec Mark en bas. Dimanche, je suis sur ne pas avoir passé mon samedi à une after ou quelques choses qui auraient pu y ressembler de près.

Me croyant devenir folle, je préférais enfiler mon pyjama et partir me coucher pour reprendre mes esprits le plus rapidement possible.

Quelques jours après l'étrange soirée de vendredi les ragots avait cessé de tourner. Tout y était passé, un tel avait coucher avec tel un tel, machin avait pris la cuite de ça vie et j'en passe des verte et des pas mûrs. Bizarrement, personne ne m'avait évoqué moi. Sachant que jetait en général sujette a tout ragot disponible sur le marcher, cela m'étonnais quelque peu. Mais apparemment personne n'avais l'air de s'en soucier.

Les quelques mois suivant s'écoulèrent sans plus de problèmes, j'ai bien entendue eux de nouveaux l'occasion de me rendre a une soirée, et cette fois-ci pour mon plus grand soulagement tout le monde avait repris le goût de lancer la foire au ragot me concernant.

Cette journée de vendredi venait de se finir en toute tranquillité, heureuse d'être enfin en vacances, je me précipitais chez moi. Personne n'était encore rentrée pour ma plus grande joie. Sautillant comme une enfant jusqu'à la cuisine, je pris quelques gâteaux et montais déposer mes affaires dans ma chambre.

Balançant mon sac dans un coin, j'entrepris d'enfiler un leggings a la place de mon jean, quand je remarquais que la fenêtre était ouverte. Un vent de panique prit l'emprise de mon corps et je courus fermer la fenêtre. La sensation d'être observé me fit paniquer d'avantage et je fermais les rideaux avec hâte.