Le club sataniste 👹 Penn Badgley

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"-Je suis désolé, j'étais pas au courant de leurs affaires !"

*P.D.V de Penn*

"-Tu es parfaite

-Non, je... Je ne suis en aucun cas parfaite !

-Pour moi tu l'es.

-Peut-être mais tu n'es pas les autres... Alors

-Tout le monde va t'apprécier y'a pas de raison... Et puis rappelons-le tu es la petite amie du meneur de l'équipe de basket !

-Bien sûr, si personne ne le savait ça ! Dit-elle avec une pointe d'ironie.

-Eh eh on critique pas... L'a coupa t-il, s'allongeant sur elle, dans le lit. Tout en l'embrassant du cou jusqu'au cheveux.

-Je constate c'est tout ! Et c'est pas en me faisant l'amour que je vais être accepté par tes amies Penn !

-Roh ! Il souffla un instant, se couchant à ses côtés.
Tu sais quoi, tu n'as rien besoin de faire pour qu'on t'apprécie ok, tout le monde t'adore ?! Pourquoi pas mes amies hein ?

-J'en sais rien, j'ai... Comme un mauvais pressentiment.

-Allez t'inquiète pas... Maintenant est-ce que j'ai le droit de t'embrasser tranquillement ?

-Oui, t'as ma permission ! Rigolait-elle."

Elisabeth devait rencontrer mes amies et ça l'inquiétait, disons pas mal, lorsque j'ai rencontré ses amies, tout s'est bien passé mis à part avec l'un de ses meilleurs amis mais désormais les autres me considère comme l'un des leurs. Le jour de la rencontre arrivait, à un jour de la soirée, cette dernière, Elisabeth se demandait déjà comment elle allait s'habiller.

"-Est-ce que tu crois que ça ira comme ça ?

-Ce ne sont pas des rois, ce sont juste mes amies et ce n'est qu'une soirée jeux de société... Je te connais plus sûr de toi et à l'aise dans tous tes habits... Souriais-je

-Je le sais mais c'est important pour toi, alors je veux faire bonne impression c'est tout !

-Je veux qu'ils te voient tel que tu es, c'est comme ça que je t'aime et c'est comme ça qu'ils t'apprécieront. Je déposais mes bras autour de sa taille, l'a rapprochant de moi. J'essayais de la rassurer un maximum.

-C'est vrai, tu m'aimes ? Répondait-elle niaisement.

-Vas te changer j'aime pas du tout cette robe ! Rigolais-je.

-Abruti !"

Elle tourna les talons et parti se changer.

Le lendemain, durant toute la journée du vendredi, Elisabeth stressait énormément, il ne s'agissait que d'un repas entre potes mais lors de sa rencontre avec mes parents tout ne s'était pas passé comme il fallait. Tout va pour le mieux au jour d'aujourd'hui, elle a sans doute peur que le schéma recommence.

"-On y va pour quel heure ?

-Vers dix-neuf heures je suppose... Tu es vraiment sur de vouloir y aller ? Je veux dire, je peux leur dire que tu es malade ?

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