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je te cherche partout, je déteste quand t'es pas là

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je te cherche partout, je déteste quand t'es pas là.

M Y N A A

Pour une meuf qui a peur, j'ai bien dormi. Il faut dire que le grand lit la est doux. Hier avant de dormir j'ai pensé à ce que Jessika m'avait dit sur la famille Andrieu et je commences à comprendre ce qu'elle dit. Je commences doucement à la croire.

J'ai jamais autant eu peur que hier soir, même si Tarik a très bien gérer la situation j'avais peur de me prendre une belle. Moi de base, je traines qu'avec des faux voyous, ils ont même pas d'ennemie. Son frère, son père et lui avait l'air d'être habitué à ça, c'est leurs train de vie on dirait alors que moi j'avais clairement peur pour ma vie.

J'étais concentré à peigner mes cheveux que je venais de lisser et j'ai sursauté quand j'ai entendu une voix masculine derriere moi. J'ai regardé à travers le miroir et j'ai vu Tarik apparaître suivi de Nabil.

Moi « Encore une fois, heureusement que je suis pas nue. » _ soupire « Tu m'as dis quoi? J'étais dans mes pensée. »

Tarik « Ça va ? »

Moi « Oui. »

Il s'est directement taillé, je me suis retrouvé seule avec Nabil.

Nabil « Sur? »

Moi _ sourit « Oui, merci Nabil. »

Nabil « Hier t'étais toute paniquée. »

Il s'est assis sur le lit pendant que j'hochais la tête positivement.

Moi « Encore un peu aujourd'hui. » _ pose le peigne « Je voulais m'excuser pour la dernière fois, quand je t'ai giflé. »

Nabil _ sourit « C'est déjà oublié.. T'as peur de quoi Mynaa ? »

Moi _ rit « Mais toi et Tarik vous me faite rire avec cette question. Hier on a failli se faire tuer, j'ai eu peur de mourir. »

Il a rit et a croisé ses bras. Pour eux c'est tellement banal, ils ont même plus peur.

Moi « Bande de fou, vous avez même plus peur de la mort. »

Nabil _ rit « Abuse pas wesh, c'est juste que si on meurt, c'était écrit et si on vit- »

Moi _ le coupe « C'était écrit. Tais toi. »

On a rit, il est malade lui. On a repris notre sérieux et j'ai vu qu'il était pas mal amoché.

Moi « Vous êtes dangereux les Andrieu. »

Je t'aimais de haine. Where stories live. Discover now