𝙷𝚘𝚙𝚒𝚝𝚊𝚕 - Antoine Griezmann

Trois

Aaliyah Rodriguez
Madrid
23 avril 2016

Ce samedi soir, j'ai décidé de m'intéresser au match que dispute l'atletico contre Malaga.

D'après les commentateurs, s'ils gagnent, ils seront vissé en première place de la Liga jusque leur match contre le FC Barcelone.

C'est quoi la Liga même ?

C'est à la soixante deuxième minutes qu'un certain Corréa ouvre le score.

Je perçois enfin Antoine parmi tous ces joueurs.

Il est heureux, qu'il est beau.

Alex : ça me fait vraiment bizarre que tu regardes un match avec nous, il rit en entourant de son bras mes épaules.

Je souris et lui embrasse la joue.

Moi : il y a un début à tout.

Bah quoi ? Le boule de Griezmann n'est pas moche alors autant en profiter.

Il me regarde en souriant et ses potes crient lorsque la fin du match est sifflée.

Ils se filment à sauter partout.

Le foot a vraiment une grande ampleur sur le monde.

De ce que je vois, je décide d'aller préparer à manger mais d'abord d'envoyer un message à Antoine.

A Antoine
Félicitation pour ce match ! Vous avez géré ⚽️

Il ne me répond pas, logique.

Aaliyah Rodriguez
Madrid
23:38

Alex, Sam et Willy sont sorti en boîte.
Je suis donc seule dans mon lit.

Alors que je m'apprête à quitter mon portable, celui ci émet un bruit signé de message.
Je clique sans même en regarder le destinataire.
Il s'agit d'Antoine.

De Antoine
Hey ! Merci petite tête ca fait plaisir comme tout chez toi *clin d'œil*

Je sourit en voyant le contenu.
Ce mec est insupportable.

A Antoine
Tu ne t'arrêtes jamais

De Antoine
Pauvre chouette, bon je t'appelle, Erika et la petite sont chez ses parents

Appel Entrant de Antoine

Je décide de répondre, je n'ai rien à perdre après tout.

Ayant fait une sieste de 21 heures à 23 heures, j'ai une tête fraîchement endormie.

Antoine : oh t'es trop mignonne ! Il sourit.

Moi : tu m'étonneras toujours.

Antoine : alors, ça fait longtemps que je ne t'ai pas vu...

Moi : le mois prochain probablement. Je te manque déjà ? J'ironise.

Antoine : Étant donné le plaisir que j'éprouve quand je te touche, oui.

Je souris gênée, je ne suis donc pas seule.

Antoine : tu ne veux pas qu'on se voit avant ?

Moi : je préfère prendre mes distances avec ta famille.

Antoine : mais à quoi ça servirait ? Je te parlerais toujours pour essayer de te convaincre, t'as perdu d'avance.