Only Gang. [TERMINÉ]

Chapitre 56. [Corrigé]

Mon père me dit ensuite de venir dans son bureau après manger, car ma mère et lui voulait me parler. 

Donc c'est ce que je fis. Après avoir manger, je montai dans le bureau de mon père. 

Ma mère était assise sur le bureau, et mon père sur sa chaise. 

-Entre Dolcezza, nous avons à te parler. 

Je m'avance vers le bureau, et je restai debout. 

-Assied toi je t'en pris.

Je m'assis, et je les regardai fixement. 

-Tu sais que tu es la future héritière de cette mafia, commença mon père. 

-Oui.

-Et après toi, ca sera à ta future fille ou à ton futur fils que tu devras la donner. 

J'hochai la tête, pas très sûr de comprendre. 

-Il existe un coffre contenant tout les plans des prochaines attaques à venir. Tu dois connaître son existence, car tu es le futur parrain. 

Je hochai la tête. 

-Il est derrière le tableau de Giovanni, dans notre chambre. 

Je les fixe et il continu.

-Et, comme tu n'as manifestement pas de petit ami, nous t'avons arranger un mariage avec un de nos Capo. Il a 25 ans, il est bel homme, et s'est porter volontaire pour t'épouser. 

Je ne répondis rien et continuai de les fixer. 

-Il en est absolument hors de question, dis-je enfin, tout à fait calme. 

-Ma chérie, tu es obliger, si tu ne le fais pas, c'est ton frère qui va récupérer la Giglio Nera. 

-Soit, mais je ne me marierais pas avec votre Capo.

-Sauf que l'ont t'y oblige, ton frère est trop jeune pour diriger la mafia, siffla mon père. 

-Je refuse ! criai-je maintenant, déterminée à refuser. 

-Et moi je te dis dis que tu es obliger ! hurla à son tour mon père. 

Je me lève violemment, tape du poing sur la table en acajou.

-JE REFUSE CATÉGORIQUEMENT! 

Je sortis du bureau en trombe et j'aperçu un jeune homme assez beau attendant sur un fauteuil rouge. 

Je passe devant lui en coup de vent mais il me retint par le bras.

-Quoi encore ?!

Il écarquille les yeux de stupeur.

-Excusez moi mademoiselle mais je suis un des cinq Capo ! Vous me devez donc le respect !

-Oui et moi je suis la future héritière de la Giglio Nera et je t'emmerde ! hurlai-je à sa tronche de cake. Non mais ! Il ne manquait pas d'air ! Il pétait plus haut que son trou de balle ça c'était sûr. 

Il me lâcha soudainement et se pencha légèrement en avant. Comme pour s'incliner ? 

-Veuillez m'excusez madame Gallieni. Je me présente, Tobia Raffaello, mais appelez moi Raffaello. (Raffaello en Media)

Mon père et ma mère déboulèrent dans le couloir, et leurs visages s'illuminèrent. 

-Ahhhh! Mon cher Raffaello, tu as enfin rencontrer notre fille! Comment la trouve tu ? demanda mon père. 

Oh Seigneur il ne manquait plus que ça...

-Merveilleuse ! s'écrit t-il. 

Ils l'ont payer pour lui faire dire ça ou quoi? 

Il me pris la main tendrement, mais je le fusillai du regard pour le prévenir du danger qu'il courait en faisant ça. Il n'y prêta pas attention et sourit de toute ses dents à mes parents. 

-J'ai hâte de l'épouser ! 

Je cru mourir. 

Je retirai brutalement ma main de la sienne et je m'écartai de trois mètres sur le côté. Alors c'était lui le Capo que je devais épouser. Je soupire lourdement. 

Je me retournai pour partir, mais le soit disant Raffaello me retint par le bras.

-Passez une bonne après midi. 

Je retirai  mon bras de sa poigne d'un coup sec, et je fis volte face, pour marcher jusqu'à ma chambre d'un pas conquérant. 

-Elle est comme toi la première fois que je t'ai vu mon amour, elle est théâtrale, s'exclama mon père. 

-Tu crois que c'est un signe ? demanda ma mère. 

-Oh oui, et un gros. 

Ma mère rigola d'un rire cristallin et dit à Raffaello : 

-Eh bien mon petit, on dirait qu'elle t'aime bien. 

Je n'entendis pas la réponse de l'autre merlan frit, car je claquai ma porte de chambre violemment. 

Je cherchai dans mon placard ma nouvelle tenue de motarde que mon père avait fait confectionner sur mesure pour moi, et je l'enfilai. 

J'avais besoin de décompresser. Grandement. Surtout si je voulais réussir à détruire la Giglio Nera.