[Chronique d'Aliya: Kidnappée par un Thug..]

Chapitre VII:

Mon cri s'entend dans toute la villa et sans surprise j'entends des pas courir en direction de ma chambre, la porte s'ouvre d'un coup tellement fort que je croyais qu'elle allait faire un trou dans le mur. Le presumé Adam s'approche à grand pas les sourcils fronçés, il me fixe pendant un moment et finit pas tourner son regard en direction de la salle de bain. Moi je tenais à peine debout, la réspiration se fesait accelerée et une goutte de sueur déscendait de mon front.
- Jure wallah maintenant t'es sah?- il crie en se retournant en ma direction apparament enervé
Je me masse les temples pour garder mon calme et répondre normalement mais il me précede en me coupant la parole
-Tu cries pour une putain d'araignée qui fait la taille d'un grain de riz?- il dit en serrant le poing sur le mur
- Elle fait au moins 5 cm arrête de mentir et tues la si elle te fait pas peur dans ce cas la- je le défie en gardant mes distances
- Non je te laisse faire, c'est ta chambre- il dit un sourire au coin des lèvres et en commençant à marcher vers la porte
Je le précède en courant, ferme la porte à clef  et en deux deux et la cache dans mon soutif en laissant un sourire moqueur. Il essaye de l'ouvrir à plusieur reprises en échouant et tire un coup de poing sur le mur pour calmer ses nerfs apparament.
- Rends pas ouf, rends la clé- il dit en ouvrant son paume pourque je lui les donnes
- Tu sais Adam, l'espoir fait vivre- 
- Comment tu connais mon prénom?- il dit en haussant légèrement le ton de la voix et en se levant d'un coup sec
- Je connais tellement de choses sur toi que je pourrais te surprendre- je dis en mentant naturellement,  je ne connaissais absolument rien sur lui apart le prénom qui s'était echappée des lévres de la femme de ménage. Et à vrai dire ça me faisait peur, déjà  c'était un kidnappeur ça je n'avais aucun doute mais qui m'assurait que c'était pas un violeur?  Un pédophile? Ou encore pire un tueur en série?
- ....wsh?- et la sa voix me ramène au présent
-T'as dit quoi?- je demande agressivement vu les pensées qui venaient de vaciller dans ma tête
- Parles bien Aliyah, et je t'ai demandé pourquoi t'es parti à l'autre bout de la chambre avec un regard de folle psycopathe?- il demande en rigolant, même si c'était un rire moqueur je ne pouvais pas le nier, il le portait assez bien.

- Entre nous deux c'est toi qui a le plus de chances d'être psycopathe- je murmure à basse voix
- Et pourquoi ça?- il dit en se raprochant lentement et en jouant avec sa chevaliere
- Tu kidnappes des gens et tu fais le surpris?- je demande à bout de nerfs

- Bref ta guele- il lâche sechement en se dirigeant vers la salle de bain
Je le vois manipuler avec des mouchoirs et l'eau du robinet pendant quelques minutes, il finit par sortir avec un regard ennuyé.
- Passes moi les clés maintenant- il redemande calmement en baillant
- Avant dis moi pourquoi je suis la- je dis avec acuité en sortant la clef 
- Tu commences à me monter à la tête, passes la clef et arrête de casser les couilles-
- Non-
- Répète?- il dit en haussant un sourcil
- J'ai dit N.O.N- je répète en articulant bien chaque lettre 
Je sais pas de quelle manière il a réussit parce que tout s'était passé hyper vite mais en deux trois mouvement il m'a tordu le bras et m'a fait lâcher prise sans mon acconsentement.
- Quelle conne- il dit en rigolant
 Il passé la clé dans la serrure mais arrive pas à ouvrir la porte, il réessaye et l'enfonçant avec une force absurde jusqu'à couper un bout de bois blanc. Il se passe  la main dans les cheveux, expire une grande dose d'air et se tourne lentement en ma direction faisant face à un sourire bien plus que dérisoire.
- C'est qui le con maintenant?- je demande tout en rigolant
- Comment t'as fait?-
- La clé du dressing te dit rien?-
- Salope- il murmure en se jetant sur le lit même si je l'avais très bien entendu
- Dis moi pourquoi je suis la et sur la vie de mon cousin du troisième degré que je te laisse sortir- je dis sérieuse
Il lâche un rire inattendu et ferme les yeux, les bras croisés derrière son gros crâne.
- Pourquoi tu rigoles maintenant?- je demande irritée
- Cousin de troisième degré? Sérieusement?- 
- Bah quoi? J'en ai plusieurs même- j'affirme
- Bref ferme la et laisse moi dormir- il dit en se tournant sur le côté pour mieux se positionner
- NON, NON, NON- je commence à répeter en criant de toutes mes forces
Il mets un oreiller sur son crâne pour essayer de dormir en paix mais je me laisse pas faire, je continué à crier jusqu'à avoir la gorge qui pique et extremenent sèche. A l'enième "NON" je sens un gros poids parachuter sur mon visage ce qui me lance littéralement à l'arrière, je me rélève avec difficulté et me masse le visage. Ce gros c****** m'avait lancé le pouff qui était posé sur le bord du lit, je fais par me réléver pour le defoncer à mon tout mais une voix familière me coupe le souffle.
- Adam? Adam? C'est toi içi?- j'entends la voix de mon père de l'autre côté de la porte
Je commence à articuler quelques lettre mais la main d'Adam "posée" ( j'arrivais même plus à respirer) sur ma bouche m'a empechée de parler avec la seule personne qui pouvait m'aider et qui d'ailleurs m'avait enormement manqué. Je mords le paume de sa main mais il ne bouge même pas d'un millimètre, au contraire il commence à me mimer avec des gestes violents de me taire ou que sinon il allait me tuer ( tranchage de gorge avec son index qui passait autour de son cou). Je fronce le sourcils et continue à morde et à me débattre de toutes mes forces mais c'était inutile, je ne faisais pas son poids.
- Amir (prénom de mon père) oui c'est moi, je suis occupé la tu peux repasser plus tard stp?- il dit en prenant une voix sérieuse et grave
- Douce compagnie?- dit mon père en rigolant, moi je commence à verser des larmes amaires. Depuis quand était-il dévenu aussi hautain et irrespectueux? Mon père? Le mari à ma chère yemma?
- Tu te trompes jamais- réponds Adam pour le convaincre
J'entends les pas de mon père s'éloigner peu à peu ainsi que la prise d'Adam se relâcher d'un coup. Il va s'asseoir et ne me regarde pas, moi j'essuye les deux larmes qui me paraissaient de l'acide et me mets en face de lui. 
- Soit tu m'expliques tout de suite ce qui se passe avec mon père soit je comence à crier- je le ménace avec une voix paradoxalement tremblante.