Quand le monde est trop moche pour être regardé,
quand l'humain est trop inhumain pour être supporté,
tu laves tes pensées, aux filets d'eau salée,
tu m'as appelée, le long de tes soupirs, la Larme.
Quand tu pleures pour la vie que tu mène,
quand tu crois que rien ne change le futur,
tu ne peux plus me supporter, mais tu m'accepte quand même,
tu m'as appelée, équation d'insomnie, malgré moi, l'Épuisement.
Quand tu vis enfin, la vie des films d'amours,
quand tu l'ignore mais que tu gâche ta vie, en oubliant d'imprimer ces souvenirs,
tu vois qu'être jugée ne vaux pas un regard
tu m'as appelée, en ton fort intérieur, pour mon plus grand bonheur, la Joie.
Quand tu finis par trembler, de toute satisfaction,
quand tu blesse et tus pour te permettre de cicatriser,
tu finis par éclater, sous l'interminable accumulation,
tu m'as appelée, criant ta haine contre les coupables aux innocents, la Colère.
Tu m'as créée de toutes tes imperfections, tu m'as faite vivre,
nourrie de tes angoisses, bercée par tes sourires,
tu as vécue de moi, ressentant mes battements,
tu t'es demandée qui j'étais.
Qui suis-je?
Tu le sais, je le sais, nous le savons...
Je suis toi.
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quand parfois j'ai de l'inspi'...
RandomBienvenue dans mon palais mental, welcome in my mind palace, tous les voyageurs à destination de l'ennui sont priés de cliquer sur LIRE, all travelers to boredom are requested to click on READ... A votre gauche, sont situé les commentaires au cas où...
