🌑 CHAPTER 7 🌑

Comenzar desde el principio
                                    

Moi: bon on va ou d'abord ?

Rhizlene: j'sais pas comme tu veux, j'te laisse choisir.

Moi: OK bah viens alors.

On fait les magasins comme d'habitude, on se retrouve avec pleins de sacs en plus on achète tout ça comme si l'argent ça tombait du ciel et que nos armoires déjà bien remplie allait supporter.

On marche tranquillement quand d'un coup y'a un énorme mouvement de foule , tout le monde cours en hurlant. Beaucoup tombent et se font écraser , on se mets nous aussi à courir mais avec tous nos sacs c'est pas facile.

Je me retourne et cette imagine je l'oublierai jamais. Un énorme camion qui roule sur la foule, c'est comme dans les jeux vidéo, mais en vrai c'est beaucoup plus flippant. J'ai hurler de toutes mes forces et j'ai couru encore plus vite. Je me retourne encore, Rhizlene est plus loin derrière moi.

Moi: RHIZLEEEEENE

Moi: RHIZLEEEEEENE PUTAIN !!

Ouais j'ai espoir qu'elle m'entende alors qu'au fond de moi je sais qu'il est impossible qu'elle entende. Avec tout ce monde et tous ces cris, c'est mort d'avance.

Je m'arrête et tente de faire marche arrière mais je me fait pousser , je tombe et arrive avec beaucoup de difficultés à me relever. Mais quand je regarde autour de moi, elle n'est plus là. Je l'ai perdu, j'ai perdu ma soeur. Je suis quel genre d'amie ? J'ai même pas été capable de l'aider.

est - elle ?


*DANS LA PEAU DE RHIZLENE*

J'ai tellement mal, c'était trop violent. Le camion mets rentré dedans par derrière, mon dos c'est complètement éclater et j'ai finis propulser quelques mètres plus loin.

J'ai vue Sirine hurler quelque chose mais j'étais déjà loin, on me marche dessus sans s'en rendre compte. On me bousille encore plus que je ne le suis, j'ai atrocement mal mais ça personne ne s'en rends compte. Personne ne fait attention.

***

Une demi heure plus tard, les tonnes de camions de pompiers font leur apparition et on me prends en charge. Rien que me porter pour me mettre dans le camion à été un supplice , j'ai crier et pleurer comme pas possible.

On m'emmène à l'hôpital, le trajet me paraît super long en plus sa bouge à cause des dos d'âne ( pas de moqueries je sais pas l'écrire ) et la route très mal faite.

Quand on arrive enfin , il me sorte du camion et pousse le brancard très rapidement pour que l'on me prenne directement en charge.

*DANS LA PEAU DE IBRAHIM*

J'entends d'une radio d'un SDF pas loin de moi , qu'un attentat à eu lieu sur Paris. Toujours des merdes ici de toutes manières, en ce moment j'ai l'impression que ça devient une habitude.

On est tous dans la même galère, j'me perds.

C'est bien ce que je pensais de la France, je le répète encore une fois : arrêtez de faire croire aux Africains que l'Europe c'est le paradis.
On se rends vite compte que même en Europe on connais les problèmes. Pourtant au bled c'est pas ce qu'on nous fait comprendre.

Tome 1 - Esprit Noir Cherche Lumière Blanche. (Terminée)Donde viven las historias. Descúbrelo ahora