le ciel d'en haut

4 : la mort

Après l'incident de la grotte,rien ne se passa à par que les routes étaient de plus en plus remplie de monde car on approchait de Paris. Quand les porte de la ville devinrent réalité, j'étais ivre de fatigue et je pouvais à peine tenir sur ma selle. Au fur et à mesure que j'approchais de Paris, je pris conscience de l'immensité de la ville.

Après coup, Paris était plus petit que ce que j'imaginais. On m'avais conter tellement de chose sur "l'immense" ville que je m'attendait a pire.

Je pris conscience trop tard de l'erreur que j'avais commise. En approchant des soldats postés au abord de la porte, j'avais compris que je ne passerai pas inaperçue après les incidents qui c'était produit ces derniers jours. A cette instant, un soldat qui devait avoir une vingtaine d'année m'avait interpellé et avait crié "c'est lui !". J'ai pris du temps avant de comprendre la signification de cette phrase puis tout c'est passé trop vite. Le soldat qui avait interpellé ces camarades fut le premier sur moi. Les gens qui faisaient la route avec moi s'écartèrent pour laisser passé les autres soldats qui arrivèrent trop tard car, en train de ce débattre pour attrapé le filet de Billi, le soldat ne vit pas le coup venir et ce pris les deux sabots de Billi dans le thorax. On entendit le craquement des os puis le corps flasque du soldat tombé dans la poussière.

Billi parti au triple galop au milieu de de la foule puis dans un bois voisins. Arriver au milieu d'une clairière, je descendit de selle pour aller remplir ma gourde dans un ruisseau pendant que Billi broutait. Je ne pouvait cessé de penser au long craquement sonore puis au corps flasque qui tombe dans la poussière et je ne cessais de me répéter "j'ai tué un homme..."