Marie reine d'Écosse et l'alliance vikings

Chapitre 3: La demande de Marie

P.O.V-Marie

                 Je vis la barque s'approcher, les marins de hisser la barque et le soldat se posta devant moi et énonça la raiponce de la reine Âslaug .

-"La reine à dit que nous somme les bien venus à Kattegat"

                 J'ordonna que l'ont préparent les barques. Je me répéta dans mon esprit les directives de l'arrangement que j'avais préparée. Il faut à tout pris que je ne panique pas devant eux. Il me fallait que je garde mon calme, prendre de bonne directive dans la conversation et surtout ne pas les offenser. Ils me firent monter dans une barque accompagné de gardes, soldats et marins. Le reste de l'équipage nous accompagnaient attribué à leurs barques.

 P.O.V-Ivar

                 Nous nous postons tous sur le port près à accueillir la reine d'Écosse. Tout le monde étaient assez excités, accueillir une reine Catholique en Norvège alors que nous leurs avons fait comprendre par de multiple raid notre haine envers eux.

-"Mes frères voyons se que cette reine va nous proposer.", dit-je.

-"Surement rien d'intéressant pour toi!", rétorqua Sigurd.

                 Je lui répondit par un sourire cruelle près à lui lancer mon couteau au visage. Flokis posa sa main sur mon épaule et mère fusilla mon frère Sigurd du regard. Mère se mis à tous nous regarder avec sérieux.

-"Du calme, nous recevons une reine tenez-vous correctement!"

-"Si nous négocions bien son pays nous apportera beaucoup.", argumenta Flokis tout excité.

                 Cette invitée de marque peut nous apporter beaucoup. D'après mère l'arrangement qu'elle apporte nous fera énormément de bénéfice et nous donnera la chance d'exécuter notre vengeance avec succès. Ils attelaient leurs barques, les gardes de la reine d'Écosse se mirent en ligne des deux côtés de la passerelle. C'était un jolie bout de jeune femme qui gouvernait un pays entier.

-"Bien venus à Kattegat, reine Marie Stuart d'Écosse.", dit mère.

-"Merci de votre accueil et d'avoir accepter de nous recevoir."

-"Je vous pris de nous suivre, nous allons converser dans un endroit plus adapté et plus chaud vous devez être frigorifiée."

-"Je vous remercie. Je vous suivrez avec plaisir."

                 Nous nous dirigeons vers la salle du trône. Je vis mes frères loucher sur les formes de la jeune reine. Elle marcher gracieusement, elle ne posa même pas de question sur ma condition physique quand elle me vit et me fit plutôt un doux sourire. Les gardes de la reine d'Écosse était très tendus. Une fois installé dans la salle du trône mère prit la parole.

-"Quelle est votre offre."

-"Vous aurez l'Angleterre à condition que vous sauvez mon pays."

                 Des asseaux de bavardage se fait entendre, cette entretien prit un charmant tournant pour mère, mes frères et moi. La reine Marie ne silla point face aux bavardages. Je su alors comme temps d'autres que cette jeune femme était très sérieuse. Mon frère Bjorn buta dans ses paroles quand il lui posa sa question.

-"La couronne d'Angleterre?!"

-"Expliquez-vous!", repris-je prestement.

-"Étant la nièce du roi Ecbert, reine de droit divin d'Écosse si le roi Ecbert et son fils meure. Je serai reine d'Angleterre de droit divin étant cousine de Aethelwulf."

-"Mais encore...", demanda mère.

                 Nous étions tous en attente de ce qu'elle voulait nous dire. Il était claire que nous ne pouvons uniquement pas tuer le roi Ecbert pour avoir sa couronne. Il nous fallait aussi passer par cette jeune reine.

-"Je vous demande de repousser les Anglais à partir de mon pays jusqu'au leur puis d'exécuter le roi Ecbert et son fils ainsi que le roi Aelle. En échange, je vous donne la couronne d'Angleterre et mon armée vous accompagnerez tout au long de l'annexion de l'Angleterre. Nous pourrons par la suite parler des arrangements commerciaux.", repris la reine Marie.

-"Mes fils, mon peuple et moi allons discuter de votre offre.", dit mère.

-"Merci, reine Âslaug."

                 Avant qu'elle se retire avec ses gardes à leur bateau. Nous lui informons qu'elle pourra savoir notre raiponce le lendemain quand l'ont auraient fini de débattre sur sa proposition.