Observateur.
Casanier.
Angoissé.
Incontrôlable.
Perdu.
Cassé.
Voilà ce qu'étais devenu le beau, sportif, hétéro et populaire Louis Tomlinson. L'ombre de lui-même regardant sa vie se dérouler devant ses yeux sans essayer de la vivre pleinement.
Et un...
L'epilogue enfin la Faite moi plaisir et commentez le plus possible, je suis super triste de finir cette fiction je vous love Bonne lecture L
Ce n'est pas toujours ceux qui ont l'air le plus en détresse qui nécessite les sauvetages d'urgence, la peine est malheureusement souvent silencieuse et invisible camouflé par un masque bien rodé par ceux qui semblent les plus fort, les plus serviable ceux que l'on croit invincible et que l'on éloigné de tout soupçon, ceux dont le sourire est le plus rayonnant, le plus éblouissant!
Oui ce sont bien eux qui cache les plus grosses blessures et ce fut le cas pour Harry.
Celui sur qui tout le monde celui sur qui Louis se reposait normalement craquait, celui vers qui on se tournait pour un bobo pour un chagrin n'était plus ...
Ça avait perdu tout le monde, la confusion la plus total avait régné dans leur petit cocon et avait été d'une telle impact que tout leur petit monde avait failli voler en éclat.
Tout dans cette sournoise maladie était paradoxale et dur à vivre, pour tout le monde au premier abord elle avait paru insurmontable, le premier psychiatre avait tenté plusieurs dosages d'antidépresseur et Harry en plus de devenir un vrai zombie c'était vu interdire son pamplemousse matinal (le pamplemousse peut modifier les médicaments dans certain cas) a vrai dire le pamplemousse a cet époque avait créé la plus grosse dispute de tous les temps !
Harry avait exploser et les spectateurs avait subi sa colère puis avait hurler à leur tours, paralysé par l'ampleur que prenait la situation tentant dans le chaos le plus total de calmer le boucler car qu'est ce qu'était un pamplemousse au fond dans le triste merdier qui était le leur c'était presque rien, juste un pamplemousse ...
Vraiment rien mais la vie est faite de tout petit rien, de petites joies qui mit bout à bout créé ce que l'on appelle le bonheur.
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Au bout de quelque temps Louis fatigué de se cacher pour pleurer tant l'état de son amoureux l'alarmait car Harry ne faisait que dormir presque toute la journée, ou pleurer toute les larmes de son corps dans ses bras, avait réalisé que ce petit pamplemousse aussi insignifiant soit il était en réalité la clé du problème. Il était revenu ce jour là de saynsburry une cagette pleine de pamplemousse et avait été réveiller Harry pour un petit déjeuné en amoureux et pendant ce déjeuner ils avaient décidé ensemble de changer d'approche ...
Clairement quelque chose ne fonctionnait pas ...
Le traitement avait été abandonné et le psychiatre remplacé et un psychologue s'était aussi ajouté au squad "Remettons Harry sur pieds".Mais le vrai déclique était venu du principal concerné et avait commencé complètement innocemment encore.Cette fois si pas d'agrume ne fut impliqué, simplement une tondeuse électrique que Harry avait ramené sous le bras et il l'avait tendu comme une relique à Louis. Louis lui avait coupé les cheveux minutieusement dans la salle de bain de la coloc retenant au maximum les larmes qui menaçaient de couler en voyant ses jolies boucles tomber les une après les autres.
