Chapitre 2

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Il est 20h, la nuit avec son immense ciel étoilé s'installe peu à peu dans la ville. Les ombres de ces immenses immeubles, ils disparaissent comme le soleil derrière les montagnes, qui entour la ville.

Je reste assis dans cet immense salle devant une fenêtre en admirent la ville qui entour le palais, puis je finis de manger et je me dirige vers ma chambre, a cet instant un garde me dit d'un aire presser

- Mon prince le bras droit de votre père viens d'arriver au palais il veut vous parler c'est très importent

après avoir entendus cet phrase je me suis dis, depuis combien de temps je n'est pas revue mon père et son bras droit.

Je cour vers l'entrée du palais et j'y vers d'un pas rapide et très content en me disent mon père et son bras droit et rentrer, la guerre et fini et nous avons gagner.

Au moment ou j'arrive a l'entrées il y a bien le bras droit de mon père mais pas lui, je fixe son regard qui est désemparé, a cet instant je compris que oui la guerre est fini mais quelque chose d'autre le torture. Nous parlons pendant quelques minutes puis fini par me dire que mon père est mort.

A cet instant je me répète des millions de fois et je les retourne aussi des millions de fois les deux mots "est mort" ces mots on une telle puissance destructrice, qu'ils son plus puissant que toutes les bombes depuis que l'hommes est capable de les crées.

Je fini par m'écrouler au sol les yeux fixer vers l'horizon, des centaines de milliers de larmes tombes et ruisselle comme une rivière coule dans son nid. Je pense a seulement deux mots "est mort", mon père est mort. Cette douleurs tel un cauchemars, que mes oreilles se ferme comme une portes qui se verrouille. Aucun sons, aucune personnes ne pouvais me réconforter. Je me suis dis perdre ses deux parents en une seule semaine est impossible.

Les gardes mon porter jusqu'a ma chambre, je me suis allonger sur mon lit, alors je ferme les yeux tous les souvenirs passer avec mes parents n'ont plus aucuns sens a mes yeux. Je me suis enfin endormis.

Quelques heures plus tard le soleil vient éclairés le palais. Je me suis lever, puis assis sur ma chaise de bureau et pris mon petit-déjeuner.

J'avais l'habitude d'avoir du mal a me réveiller mais, ce matin impossible.

Je finis par sortir de ma chambre, je parcours ces longs couloirs et je descend ces marches en marbres. Toutes les personnes présentes dans le palais avais une tête baisser et les yeux fermer. Je les entends chuchoter des prières pour mon père, notre roi. Je finis par m'écrouler encore une fois mais cette fois avec plus de violence.

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