Chapitre 4: A bout de souffle...

164 19 1
                                    

On est qu'à 2h de la nuit. Je me r'asseois sur ma chaise, qui elle, était en miettes à cause du choc avec Golden Freddy.
Je m'assis donc sur le sol, et écoute si il y a des pas dans les couloirs.

-Affirmative ! pensais-je

Je ferme une des deux portes sans savoir si c'était la bonne. Car je veux bien entendre, mais le bruit résonne dans mes deux oreilles !
Je vois Chica arriver de l'autre porte. C'était sûrement elle qui fesait les pas robotique. Alors je la ferme et ouvrit l'autre.
Je la re-ouvre et vois qu'elle n'est plus là. Sa me fesait mal ! Golden Freedy m'avait bien arrangé !

4h:

Je stresse de plus en plus, mais il faut que je reste consentré sur mon écoute.
J'entends des pas qui vont de plus en plus vite, et voilà que Foxy se la re-ramène ! Je le reconnais, lui, qui court tout le temps quand il décide d'attaquer !

J'entends des pas qui vont de plus en plus vite, et voilà que Foxy se la re-ramène ! Je le reconnais, lui, qui court tout le temps quand il décide d'attaquer !

Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.

Il n'est pas très malin ! Cet animatronic vient toujours de la gauche, jamais de la droite.
Bref, comme à chaque fois, je ferme cette fichue porte magnétique et entendis le robot se la prendre.
Je regarde sur le bureau si il y aurait pas quelque chose qui pourrait bien être utile.
Je vois un mouchoir usé, très sale, mais qui peu me servir de bandage sur ma plus grosse blessure. Les autres, je peu y résister, mais la plus grave, si vous verrez...
Je mis le tissu sur ma blessure, et vois que celui-ci devient rouge.

6h:
DING, DONG !!!

Ouiiii, le moment où sa sonne, c'est de mieux en mieux !
Je vais pouvoir rentrer chez moi et me faire des VRAIS bandages.

Je sors de cette pizzeria horrible, et dis au directeur que cette nuit leur à coûté une tablette.

-Sa sera 350$. A rendre à la pizzeria avant la fin du mois, sinon renvoyer ! cria-t-il mécontent.

-D'accord chef... dis-je avec une voix de victime.

Un Étrange EmploiWhere stories live. Discover now