Chapitre 20, part 1

Start from the beginning
                                    

Très bien, la dispositions est toujours aussi pratique, et vos amants vous remercient. Particulièrement Zal, il est ravie de se savoir à nouveau observé et courtiser par vous, si je puis me le permettre il doit attendre avec impassience votre visite prochaine.

Peut être. Je n'ai pas envie. Zal est ennuyeux, il est devenus trop prévisible. Certes il me donne de longues nuits de plaisirs et il est endurant et fort agréable au lit mais il est trop facile. C'est lassant.

Lui qui vous apprécie tant ... Pourquoi l'avoir nommer favori alors ?

Car c'est normal qu'il montre l'exemple : ceux qui se soumettent et obéissent à mes désirs sont récompensé. Râwukhshna est il prêt ? J'aimerais le revoir ce soir, sa compagnie m'a énormément manquer et il me tarde de le rejoindre.

Hélas votre altesse j'ai bien peur que ... qu'il n'ai besoin d'un peu de temps pour se ré-acclimater à l'environnement.

Pas de bêtises Jamshid : je l'ai visiter le premier jour et il s'en portait très bien.

Pardonner mon insolence mais ...

Mais ...

Il revient d'une longue convalescence que vous avez malencontreusement provoquer, je n'ai peur qu'il ne soit effrayer par vous et qu'il ne soit pas bon pour sa santé de lui rendre visite si tôt. Je vous en pris votre altesse, ayez confiance en mon jugement : pas ce soir. Il a besoin de repos. Tous vos autres amants que vous visitez si peut seraient près à beaucoup pour vous, ce soir épargnez seulement Râwukhshna et Samalai qui lui ne se porte pas très bien.

Pas très bien ?

Non, il est souffrant. Ce n'est pas contagieux. A mon avis il s'agit plutôt d'un trouble de l'esprit ... Il aurait vu les gardes chargé de la disparition de son confrère Adamik, le trouble déclencher chez lui est relativement important et je m'attelle à l'en guérir tout en découvrant ce qui a put lui donner une telle intensité.

Il a vu ...

Oui mais votre altesse vous savez, ils savent tous comment vous procédez. Il me semblait, veuillez m'en excuser si je fait erreur, vous l'avoir déjà dit. Vos amants ne sont pas idiot, ils vous connaissent votre grandeur, vous et vos manières de pensées ainsi que vos principes. Ils savent, il ont compris. Et ils ne vous le reprochent point du tout, demandez leur. Je crois bien qu'ils vous aimes.

La flatterie n'est pas bien Jamshid ! Mais je te pardonne, tu es fatiguer je le vois dans tes yeux. Et au moins la tienne est plus subtile que celle de ces idiots de la cours. Tu pense bien ... En ton absence tout fut d'un ennuie mortel, encore davantage car tu avait emporter avec toi un objet de désir et de pensé.

Veuillez m'en excuser mais cela me semblait vitale et nécessaire.

Oublions ce qui fâche tu veux. J'ai reçus de bonnes nouvelles et mes affaires vont bien. Ce soir tu réunira Iuti, Seth, Zal et ... disons Silva dans le grand salon. Nous passerons la nuit là bas, une chambré seule risque d'être étroite pour cinq non ?

Effectivement, dégluti l'eunuque ... Mais pour quel heureuse chose organisez vous donc une orgie ?

Les affaires de Bajazet vont mal pardi !

Quoi ?! Je ... Plaît il ? Se ressaisit Jamshid en tremblant.

Oui ! Très mal ! Et cela se fête ! Des insurrections partout ! Mon père sur le point d'abandonner le trône et Bajazet aux prises avec l'Europe ! Tous bientôt à me supplier à mes pieds ! Cela se fête, ria-t-il, cela se fête et en grande pompe ! Je veut des hommes nu et de l'alcool à flot ! Je veut de la bonne chair et pas seulement dans les assiettes HA HA ! Ce soit je veut que ce soit digne de ce qu'on raconte sur la Rome de Méditerranée ! Et que le salon du harem dussent après cette soirée être lavé par cent fois ! Jamshid file ! Il faut préparer ça. »

Et il le chassa d'un bref geste de la main, vivement, sans se soucier du choc sur le visage de so conseiller. Il continua d'exulter de joie pendant un long moment, peut être déjà ivre mais bien moins d'alcool que d'euphorie. Jamshid dans les couloirs lui, ordonnait la mise en place de cette soirée particulière que même le prince de tous les excès n'organisait que peut souvent. Il devait vraiment être ravie, il n'en avait fait pour la naissance d'aucun de ses enfant, ni pour aucune bataille remporter, en réalité tout ce qui aurait réjouit autrui le laissait de marbre. Sans doute parce que d'autre en tirait un bonheur également. Shapour aimait bien mieux voir la souffrance chez les autres. Pour qu'il réclame ainsi une pareil déchéance les nouvelles devaient beaucoup lui plaire, soit être très mauvaise. Vraiment très très mauvaises. Que c'était il passé à l'autre bout du monde ? Ce fou avait été bien évasif, impossible à dire ... 

Oh que de problèmes. Trop, beaucoup trop de problèmes. Entre l'enquête sur les événements de la nuit où Adamik fut tuer, les insurrections dans l'empire, la folie de Samalai, l'état psychologique assez préoccupant d'Ihsan et tout ce qu'il y avait à côté Jamshid se senti soudain minuscule. Jamais il ne parviendrait à régler tout ses problèmes ... Il s'adossa à un mur, soudain écraser par la fatalité de la situation. Se laissant glisser à terre il regarda le carrelage l'esprit vide. Comment en une journée, une seule journée, il avait put finir aussi mal ?Tout était catastrophique et devant l'ampleur de la tâche de redressement qui l'attendait il eut l'impression de n'être qu'une fourmis devant accomplir des tâches Herculéennes. Il se demandas'il était seulement capable de mener à bien la moitié de sa mission puis se frotta le visage. Il n'avait pas le droit de flancher,il avait promis à Ihsan que les choses s'arrangerais et serait mieux qu'à leur départ. Il était de son devoir de faire en sorte que cela soit comme tel. Son amour cessa soudain de le brûler et de le blesser comme un fardeau , il se changea en une puissante chaudière le réchauffant de l' intérieur et le faisant bouillonner.Grand amour calorifère, ses sentiments lui servaient soudain d'alimentation et de motivation pour affronter la machine infernal qui s'abattait peu à peu sur lui. Il s'en sentait capable s'il avait l'amour de son azéri aux yeux pourpres. Pour lui il détruiraient un à un les engrenages de l'horloge mortel. Il remonta ses manches. Sa tâche serait ardus : il fallait agir avant que ne sonne le minuit de ce monstrueux pendule.

Le FavoriWhere stories live. Discover now