Partie 11

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Le Messager d'Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « Donnez ne serait-ce qu'une datte en aumône, car elle soulage l'affamé et efface les fautes comme l'eau éteindrait le feu. » Rapporté par Ibn Moubârak et authentifié par Albâny

L'après-midi nous arrêtons et nous prenons le chemin de la maison pour déjeuner, arriver vers la maison nous entendons des femmes hurler, crier sans attendre nous nous précipitons lorsque je vis ma femme, Asmina entrain de se faire taper par des femmes, mes frères on couru en criant et moi je criais aussi mais vu que j'arrive pas à courir j'ai marcher vite pour les rattraper

Ahmed : Laissez la bande de folle

Mohamed : Bande de clochardes et vous avisez plus à toucher ma belle sœur sinon je vous tue une part une

Asmina était en pleure elle suffoquai presque, j'essayais de la rassurer t'en bien que mal mais impossible son état s'empirer, j'ai vu rouge j'me suis diriger vers les femmes mais elles étaient déjà parti

Je me suis retourné pour voir comment aller Asmina, et je l'ai vu courir en pleurant, j'était en colère, et le seul endroit dans lequel je pouvais extérioriser ma colère, c'était ma montagne, je suis parti en direction de l'écurie et je monta sur Sid et voilà qu'il galopa en direction de la montagne, il galopa de plus en plus vite le vent soufflait sur mon visage j'en pleurait, je saturais j'arrivais plus à retenir mes larmes peut être c'est le faites d'être handicapé que je suis si fragile mais le faites de la voir mal à cause de moi, en réalité sa me brise le cœur je l'aime d'un amour inconditionnel et que faire pour la rendre heureuse ? Que faire ? Je n'avais pas de solution

Arriver devant ma montagne, je descendis du dos de Sid et je m'avança vers le bord de la montagne et je me suis lâcher j'ai crié, j'ai crié ma haine, ma peine, mes larmes coulaient sur mes joues et je me suis réfugié auprès de mon Créateur je leva les mains t'en que je pouvais vers le ciel les larmes qui roulent sur mon visage

Ya Rabbi, tu es le Grand Créateur des Cieux et de la Terre, toi le miséricordieux le très Miséricordieux, apaise mes peines ya Rabbi donne moi la force d'être un meilleur mari pour ma femme, donne moi la force de la rendre heureuse, donne moi la patience face aux personnes qui veulent mon mal et celui de ma femme, ya Rabbi si ma place n'est pas ici ! Alors donne moi la force de m'en aller, j'accepte mon destin et je sais que tu éprouve seulement les serviteurs que t'aime, tu attend qu'à chaque épreuve que l'on rencontre dans nos vies on se retourne vers toi ! Et me voilà je me retourne vers toi, et je te demande juste de m'accorder une meilleure vie avec ma femme, et aussi de guérir de cette handicap le reste c'est pas grave j'en veut pas, juste c'est deux chose et je serai l'homme le plus heureux du monde et l'un de tes serviteurs les plus dévoués je veut que notre histoire d'amour ressemble à celle de Mohammed (Paix et bénédiction sur lui) et Khadjija (qu'Allah soit satisfait d'elle)  je ne veut plus la voir pleurer pour des futilités, je ne veut plus la voir mal à cause de ces femmes qu'il la jalouse, ya Rabbi protège et préserve moi ma femme..

Voilà je suis rester un moment à faire des actes d'adoration auprès de mon seigneur, lorsque j'entendis l'instituteur Maher

Maher : Aziiiiiz ! Qu'est ce que tu fais au bord de cette falaise ? Aziiiiz qu'est ce qu'il y a ? Si tu saute je saute aussi c'est pas grave, allez saute je saute après toi

Je me retourna vers lui les yeux remplis de larmes

Maher : Tu pleures ? Aziz toi tu va écrire ta peine et moi je vais la lire ! D'accord, je vais en trouver moi une solution à ton problème, juste ne soit pas triste d'accord ? Allez viens avec moi

Je suffoquai, j'était vraiment pas bien malgré que je m'était réfugiais auprès de mon seigneur et ceux-là m'avait apaiser, j'avais besoins de m'exprimer j'avais besoin de parler à quelqu'un

Maher : Allez viens mon frère ! Viens on va aller à l'école tu va m'écrire ton problème

Il me pris par la bras et nous marchâmes en direction de l'école

Après 1 bonne heure passer chez l'instituteur Maher, mon frère Ahmed et venu nous appeler pour le dîner

On s'en alla donc en direction de chez moi faut savoir que notre maison est extrêmement grande c'est comme une villa mais dans un village si vous voulais, et on y vis tous. Chacun a sa chambre conjugale bien sûr, mais faut savoir quand hiver on se réunis presque tous dans la chambre où il y a la cheminée parce que ici comme vous pouvez le constater on vit toutes les saisons à fond ! Donc pour pas avoir froid on dort tous dans la grande chambre fin bref

C'était l'heure de manger, nous nous sommes tous installer à table sauf Asmina elle n'était pas la

Yemma : Aziz, elle est où Asmina ?

Moi : Je..jee..saaais..sais..paas

Ahmed : M'ma Asmina elle fatigué un peu elle se repose

Je l'ai regarder en le remerciant du regard je savais pas quoi dire

Yemma : Tu prendra une assiette pour elle, quand elle se réveillera elle mangera

J'acquiesce et je me lève avec une assiette bien garnis et le dirige vers la chambre

Lorsque j'arrive dans la chambre je vois Asmina allongée dans le lit elle était replié sur elle même

Moi : Aa..asss..mii..na ?

Elle se retourna vers moi, et je vis c'est beau yeux tout rouge elle était toute pâle, heureusement pour ces vieilles folles qu'elle n'a aucune marque ou égratignure parce que par Allah handicapé ou pas je serai parti en tuer une, moi ma femme elle se fait taper ? Moi ma femme on lève là mains sur elle ? Jamais ! Personne peut lever la mains sur elle !

Lorsque je me rapprocha d'elle pour la prendre dans mes bras, elle éclata en sanglot ! Mon cœur il c'est déchiré je l'ai serrait encore plus, et lui fit un bisou sur la tête, elle était entrain de ce lamentait sur sa vie, elle me disait qu'elle ne comprenait pas pourquoi on lui faisait sa a elle qu'elle mérite pas sa etc.. En clair personne mérite sa ! Elle est venu dans mon village c'est la femme et sous prétexte qu'elle soit mariée avec moi, elle se fait agresser injuriée a longueur de journée parce que je suis handicapé et je peut pas la défendre ? Aucun rapport sa ne veut rien dire et personne veut comprend sa, au contraire je contrôle moi mes nerfs et je suis plus fou

Asmina : Aziz ?

Moi : Ou..ouii ?

Asmina : Qu'est ce que l'on va faire Aziz ?

Moi : J'aii..pr...riis..ma..dé..ci..cision Asmina

Asmina : Qu'elle décision ?

Moi : Doo..orrt tu..tuu..ve..verra dee..demain

Elle s'endormi dans mes bras demain et un autre jour !

Quelle décision a-t-il pris ?

Comment va-t-il s'en sortir ?

(Je pense que les dialogue d'Aziz je vais les écrire en normal vous avais compris qu'il arriver pas tres' bien à s'exprimer et qu'il bégayait donc à partir de maintenant lorsqu'il parlera j'écrirai en normal)

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Aziz : Handicapé du corps mais pas du coeur Where stories live. Discover now