Chapitre 3

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Gabriel.

6h40.

Non mais vous pouvez le croire ça ? La meuf elle est partit genre comme une voleuse avec mes fringues. Elle a un grave soucis, si je la retrouve elle est morte.

Je suis mort de fatigue, j'ai passer mon après midi d'hier à la cherché, mon père a même voulu appeler les flics mais j'ai préférer m'en charger. J'ai envoyer mes potes à sa recherche et en échange je leur paie un resto', je ne peux pas m'en charger pour le moment car mon chère père voulait visiter un musée d'art contemporain de Brooklyn.

Je déteste l'Art, je trouve que c'est une perte de temps de dessiner ou peindre, encore la photographie ça passe mais les dessins m'insupporte. Parfois les tableaux ne veulent rien dire, c'est grave du n'importe quoi et puis ceux qui font ça sont des gens réellement étrange, quitte à gagner sa vie autant vendre du poulet qu'un dessin ou autre chose de ce genre. Mon père au contraire adore cela. On y est rester longtemps et ça m'a grave saoulé, après cela on est parti au Chelsea Market pour une petite balade, mon père s'est alors entiché d'un magasin de vin le Chelsea wine vault, dois-je préciser qu'il y est rester des heures afin de trouver "la bonne" bouteille selon lui ?

Mon téléphone sonna au même moment ou mon père allait me demander mon avis, je me suis directement précipité dehors afin de pouvoir répondre, je répond, c'était Dax mon pote de toujours.

Conversation téléphonique:

-" Alors ? Fit-je

- On a rien pour l'instant, mais Peter pense avoir vue une fille lui ressemblant traînée pas loin Chelsea M.. Je le coupe.

- C'est bon j'y suis je m'en occupe.

- euh ok poto, tiens moi au courant." Dit-il avant de raccrocher.

Je sourie après cet appel, alors comme ça madame la voleuse n'est pas loin de moi. J'envoie vite fait un message à mon père lui disant de m'attendre pas loin du magasin avant de m'en aller chercher cette folle. Après cinq minutes de marche j'entendis un petit crie venant d'une ruelle isolé, personne ne semble l'avoir entendus sauf moi, soit les gens sont sourd soit ils le font exprès pour ne pas avoir des soucis. La lâcheté humaine me donne souvent envie de vomir. Je décide alors de m'approcher de la ruelle, en y allant je cru entendre des pleures j'accélère mes pas. Arrivé non loin de là je fis surpris par ce que je voyais, trois mec assez balèze étaient a terre gémissant de douleur. Je fis encore plus surpris en voyant celle que je cherchais les vêtements ( mes vêtements ) rempli de sang. Elle pleurait et semblait blesser, quand elle me vit elle lâcha le couteau a ses mains avant d'essayer de s'enfuir. Je lui pris le bras, elle fit mine de se débattre mais était trop faible pour réussir a se défaire de mon emprise.

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-"Putain." Hurlais-je

Il était déjà 20h passé, j'ai pu ramener la fille chez moi sans que mon père ne fasse de remarque. Encore heureux , j'avais un manteau que j'ai pu mettre sur elle pour cacher un peu les tâches de sang. Je me demande encore pourquoi j'ai fais ça, j'aurai pu juste m'en aller. J'avais pas réfléchis aux conséquences, sur le coup je voulais juste l'aidé.

Tandis que je fais les cent pas à comprendre la situation, elle me regarde assise sur mon lit. Mon père et Maria étaient partit tout deux à une fête pour vieux de leur âge, je profite donc de l'instant pour posé des questions à cette dingue, mais elle persiste à fermer sa bouche.

- "Tu pourrais au moins me dire ton nom ? demandais-je.

- À quoi bon ? Tu compte me dénoncé aux autorités ?Me fit-elle.

Belle sous la pluie.Where stories live. Discover now