Chapitre 22 ♡

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Salam Aleykum ♡

Youness

Les flashs des journalistes m'aveuglent. La conférence de presse vient de se terminer, ils ont pris des tonnes de photos.

Suleyman: Je dois y aller Youness, ma femme m'a appelé, je te laisse. On se retrouve ce soir.

Youness: Pas de problème.

Il me fait un signe de tête. Je sors de la salle où avait eu la conférence. Ma mère était là avec un sourire. Je sais même pas pourquoi elle sourit.

Doha: Alors comment c'était hier soir avec ta Feriza ?

Youness: Comment tu sais que j'étais avec elle hier soir.

Doha: Chaima me l'a dit.

Youness: Personne n'était au courant.

Doha: Bah moi, je l'étais, vous avez rien fait, j'espère.

Elle est beaucoup trop enthousiaste à mon goût. Elle a fait quelque chose, c'est obligé.

Youness: Au faite, t'avais tort. Feriza était bien vierge. Donc, j'ai raison.

Elle me regarde toujours avec un sourire aux lèvres. Normalement, ce que je lui ai dit, ne devrait pas la faire sourire au contraire.
Je lui ai prouvé qu'elle avait tort, elle déteste avoir tort.

Doha: Ah ouais ? Et tu veux toujours la demander, elle est plus pure.

Youness: Bah bien sûre, ça renforce le fait que j'ai envie de me marié avec elle.

Doha: Ok, c'est ton choix d'avoir une femme plus vierge.

Youness: Qu'est ce que tu baves ? C'est moi le premier à l'avoir toucher.

Doha: Fais comme tu veux Youness, je dois y aller. Pense au fait qu'elle montre son corps, je veux pas d'une belle fille mannequin.

Elle me fait un bisou sur la joue et s'en va.
Le fait de poser à moitié à poil, je vais lui en parler.

[...]

Je rentre dans la salle, il fait super chaud, l'adrénaline est à son comble.
Je monte sur le ring, Creed est déjà là, il est à fond lui, il est surtout super confiant. C'est normal, il a une bête de carrière.
Suleyman me donne des conseils, ensuite, je monte sur le ring. Creed me regarde avec un sourire, il essaie de voir une réaction de ma part, je lui souris à mon tour.
Je tourne la tête et vois Feriza avec sa mère Luna. D'ailleurs, sa mère me regarde méchamment. Feriza me sourit.

Avec Creed, on se met chacun face à face, la cloche sonne. Les personnes présentes hurlent.
Je mets direct ma garde, j'ai pas envie de me faire avoir bêtement.
J'esquive ses droites et gauches, mais je dois pas trop me fatiguer sinon, je vais pas tenir les rounds. Le but est pas de gagné mais de tenir le plus longtemps. Personne n'a réussi à tenir 2 rounds contre Creed. Il m'envoie un uppercut, je l'esquive et je rajoute un crochet du droit.

[...]

Je sens mon coeur battre vite, je sens que mon sang est brûlant, mon visage brûle.
Suleyman essuie mon visage avec une éponge.

[II]  « Un crochet du droit en plein cœur »Where stories live. Discover now