Adriel chapitre 15 - 1

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Adossé contre le plan de travail, j'attends sa réponse.

∼ J'imagine que s'ils veulent vraiment se retrouver seuls, ils seront aussi bien chez Rebecca. ∼

Trois mois que je rêve d'un moment seul avec elle sans plus y croire alors ce n'est pas ce soir, alors que c'est elle qui m'a invité pour soirée que je compte la laisser se défiler aussi facilement !

∼ Tu sais que je ne faisais pas allusion à ça, Elena. ∼

Un mot à chaque pas dans sa direction, je lui demande :
Voulais.tu.être.seule.avec moi.?

A présent que je suis assez proche d'elle pour sentir son corps contre le mien, elle semble pétrifiée mais ses yeux brûlent de désir, au moins autant que les miens.
Sans réponse de sa part, je lui empoigne les cheveux d'une main pour qu'elle m'offre son cou et la maintient en place de l'autre sur ses reins.
Je commence à la déguster, centimètre après centimètre, mordillant certains endroits. Sa respiration saccadée surpasse ses protestations et lorsqu'elle capitule en passant sa main sur mon sexe déjà dur d'anticipation, nous savons que nous avons atteint le point de non retour.
Je poursuis ma descente au rythme de ses caresses et devine les zones où elle veut que je m'attarde à la pression qu'elle exerce sur ma queue.
Du bas de son dos, ma main remonte au Zip de sa robe que j'ouvre d'un coup pour libérer sa poitrine à nue et déjà gonflée de désir. J'en suce les pointes durcies et les nargue à coups de langue, l'une et puis l'autre.
Ses bras trop courts pour atteindre mon entrejambe se débarrassent de sa robe puis tentent de me déshabiller aussi mais je ne la laisse pas faire.
Si cette nuit doit être la dernière que je partage avec elle, je veux pouvoir en profiter le plus longtemps possible et s'il s'avère qu'un jour elle m'accorde une deuxième chance, je veux lui montrer une partie de ce que j'ai à lui offrir !

Je continue mon périple toujours plus bas, à la fine dentelle de sa culotte je m'arrête.
∼ Est-ce que tu aimerais que je continue ? ∼
∼ mmmh ∼
∼ Ca ne me suffit pas, je veux que tu me parles et que tu me regardes. ∼
∼ Déshabille-moi et continue s'il te plaît... ∼

Je la déshabille mais au lieu de poursuivre, je la porte et la fait s'allonger sur l'immense console de la cuisine. Nue et à ma merci, toute pudeur a disparu entre nous. Je prends mon temps pour ôter mon t-shirt sous son regard foudroyant qui m'excite au lieu de me presser.
Ensuite, je parsème quelques baisers à l'intérieur de ses cuisses écartées avant de la questionner à nouveau.

∼ Est-ce que ça t'a manqué ? ∼
∼ Mmh, oui... ! ∼

Elle n'est pas bavarde quand je la touche donc je fais mine d'arrêter dès qu'elle hésite.

∼ Moi ou ce que je te fais ressentir ma belle ? ∼
∼ Les deux ! ∼
∼ Tu es bien exigeante, est-ce que tu t'es touchée en imaginant mes doigts, ma bouche ou ma queue ? ∼
∼ Oui ! ∼
∼ Montre-moi, laisse-moi voir comment tu as essayé de me remplacer. ∼

Quel spectacle !
De son index timide, elle commence à faire des mouvements circulaires sur son point sensible et gorgé de plaisir. Elle s'arrête très vite pour insérer deux doigts en elle, son bassin va-et-vient en rythme et lorsqu'elle accélère dangereusement je m'empare de sa main dont je suce chaque doigt remplacé par les miens, en elle. Je suis beaucoup plus brusque qu'elle et elle aime ça. C'est ensuite à ma bouche de s'ajouter pour la goûter. Ses gémissements augmentent et se transforment en cris, d'une seule pression sur son anneau, elle perd pied.

Complètement amorphe dans mes bras, je la porte jusqu'au canapé. Elle fait mine de s'y allonger mais je l'en empêche.

∼ Alors comme ça, ce joli petit cul aime aussi que l'on s'occupe de lui ? Mets-toi devant l'accoudoir puis pose le ventre dessus, fesses en l'air. ∼

Une fois en place, ses fesses tendues vers moi, je commence à douter de mon endurance lorsque je serai en elle...
De deux doigts, je recueille l'humidité de son orgasme en remontant entre ses fesses. Aucun doute, elle est prête à me recevoir et à jouir à nouveau !
Je la caresse où elle est le plus sensible et la prépare du pouce sur son anneau qui se détend sous la pression.

De ma main libre, je me débarrasse du reste de mes vêtements et m'introduis en elle par petites poussées. À la moitié de ma longueur je ressors et en la maintenant des hanches je rentre à nouveau et complètement.
Un son guttural, rauque et sexy au possible s'échappe du fond de sa gorge.
Après quelques secondes pour qu'elle s'habitue à moi à cet endroit, je finis par me mouvoir. Mes doigts s'enfoncent dans sa chair, je n'ai jamais rien ressenti de meilleur !
À contrecoeur, pour ne pas jouir trop vite, je suis obligé de me retirer. Elle comprend et cette fois s'allonge pour que je me place entre ses jambes. Mon visage juste au dessus du sien, je la scrute comme la huitième merveille du monde. Ma merveille !
J'emprisonne ses doigts aux miens au dessus de sa tête et me place au seul endroit où je me sens vraiment bien, en elle.
Ca ne dure pas longtemps pour que nous jouissions ensemble et finalement nous endormons l'un sur l'autre.

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