Salut, je m'appelle Antoine, j'ai 21 ans et je joue a l'Atletico Madrid, nous sommes en 2012 l'année de la coupe du Monde et je vais vous raconter mon année trépidante et peut être plus encore
(je rappelle que ceci n'est qu'une fiction) Salut moi c'...
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Nous finissons l'entrainement (épuisée pour ma part) et partons prendre un encas pour ce midi au snack du stade. Nous mangeons dans les tribunes et nous rejoignons Didier pour une dernière répétition avant le match. Je rentre sur le terrain et danse, avec Aurore nous faisons le duo de la fin du spectacle, le sourire aux lèvres jusqu'à ce que je me souvienne du stage, à ce moment je change totalement d'expression mais continue à danser. Nous finissons la chorégraphie et les joueurs nous observant dans les gradins applaudissent puis nous rejoigne.
Antoine : les filles c'était...OUAH
Olivier : j'ai hâte de vous voir apprêtée ce soir, et Anna change moi ce visage en sourire la, il se passe quoi ?
Moi : après le mondial je me suis dit que je ne vous verrais plus, puis j'ai mon stage de fin d'Université, après je ne sais pas ce que je ferais, si je pars à Madrid ou si je reste à mâcon avec ma famille. Vous me manquerez infiniment.
Olivier : ne te tracasse pas, tu as le temps d'y réfléchir Anna, ce soir nous gagnerons et nous serons tous fière.
Moi : tu en es sur ? Les allemands sont vraiment fort, puis imagine on perd ? Il ne nous restera qu'une soirée, une nuit ensemble.
Antoine : ne négative pas mon amour, tu sais bien que même si nous perdons nous avons été loin, je sais que si nous perdons je ne pourrais pas supporter d'avoir été aussi loin pour rien
Les grands joueurs me prennent dans leurs bras, je suis tellement petite qu'ils en rigolent ce qui me fait rire aussi.
-ELLIPSE DE QUATRE HEURE-
Le stade est rempli, l'heure est venue aux filles et moi qu'on entre en scène, Nous sommes apprêtées d'un mini short de foot, un mini top effet maillot de foot et des chaussettes haute Nike rouge. Je me suis fait une queue de cheval haute et maquillée comme une poupée, cette tenue me déplait. Nous entrons en scène et dansons, dansons comme jamais nous ne l'avons fait, toute notre énergie est juste pour cette unique danse presque inutile, car ce qui ce passe ensuite est entre les mains des joueurs, ou plutôt leurs pied. Insinuons que le ballon est la victoire, ce ballon se trouve entre les deux pieds de nos joueurs. Trop compliqué de l'expliquer. En bref nous finissons de danser et courons au vestiaire nous changer pour ensuite rejoindre le banc ou se trouve Didier. Je m'y installe et me concentre sur Antoine qui possède la balle, il se la fait prendre par un attaquant Allemand qui fonce droit sur nos cages
Didier : NOOOON
Moi : Putain ce n'est pas possible
L'Allemand vient de marquer, la mi-temps sonne quelques minutes après, les garçons foncent au vestiaire et je les rejoins de ci-tôt.
Moi : LES GARS, c'était quoi ça ? Arrêtez d'être trop confiant, vous venez de rater une opportunité d'aller en demi-finale, bravo quand même, vous avez beaucoup donné
