Fuis moi je te suis, suis moi je te fuis ...

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- Non, Zayn arrête ne fait pas ça !

- Oh que si !

- On est plus des gamins. Dis-je en laissant échapper un léger rire.

- Peut-être mais au moins le monde sera que je t'aime, Sarah Watson. Et si il faut graver nos prénom dans un tronc d'arbre je le fais. 

Je laissai échapper un léger rire Zayn me dit alors:

-  Hey ! J'essaie d'être romantique la !

- N'essaie plus ! Tu n'y arrive pas. Dis-je en rigolant aux éclats.

- Sa fait toujours plaisir de voir que tu me soutiens quand je fais des choses pour moi !  Dit-il ironiquement.

-  Ah mais toujours mais la non ! Dis-je tout en riant.

- Ta un magnifique rire. 

- Oui bien sûr ! Et j'ai des magnifiques oreilles pendant que tu y es. Tu dis n’importe quoi.

Il me regarda, le sourire aux lèvres, puis me répondit:

- Tout est magnifique chez toi.

Je m'approchais de lui, et l'embrassa tendrement. 

FIN DU FLASH BACK : retour à la réalité. 

J'étais adosser contre ce mur en fixant ses lettres qu'il avait gravé pour moi,  sur le coup je trouvais ça, idiot, maintenant,  c’est juste un moyen de me torturer l'esprit de questions: Que ce serait-il passer si j'avais refusé cette accord dès le début ? Ou encore si cette orde de fan ne m'avait pas expulsé par terre, serai-je encore avec Zayn ? J'en gardais encore, de ce jour, avec  la trace de ce plâtre qui entourait ma jambe

Je fixais ses lettres gavées sur ce tronc d'arbre.

Il me manquait tellement …

Il fallait que j’agisse pour m’éloigner de tout ça. Je ne voulais plus subir tout ça.

-- Point de vue de Zayn --

Perdu dans mes pensées, je cherchais désespérément un moyen de me faire pardonnez, un moyen pour qu’elle ne m’en veuille plus, alors là au niveau difficulté je suis tout en haut de l’échelle. Je m’auto-proposais des centaines de solutions possible pour tout arranger mais aucune n’était valable … J’étais totalement perdu je venais de perdre Sarah mais je ne comptais pas la  perdre pour longtemps, je devais juste trouver un moyen de lui prouver que je l’aimais vraiment.

Trois jours avait passé, il fallait que je la vois.  Je décidai de me rendre à son appartement coute que coute après tout je n’avais rien à perdre et j’avais trop attendu. Elle allait croire que je n’en avais rien à faire d’elle si je ne faisais rien, si je n’essayais pas de la revoir même si j’avais bien essayé de l’appeler, mes appels restait sans réponses, mais  la voir, je n’avais pas réussie à en avoir le courage, affronter toute cette peur et cette culpabilité qui se trouvait en elle me terrifiait tellement. Mais là je partais dans deux jours, il fallait que je la voie.

Je me rendis à toute vitesse à son appartement, alla devant la porte, et tapa comme un fou. Une minute passait, et puis deux, et puis trois et puis cinq. Plus le temps passais plus mon espoir devenais vain. Je décidais te taper contre cette porte pour une énième fois, comme un fou, et c’est à ce moment que la voisine, blonde aux yeux bleu, sortie ouvra la porte et cria furieusement :

- Mais vous vous croyez ou là ? Il y a d’autre personne ! Vous n’êtes pas seul !

- Ou est Sarah ? Demandais-je empresser d’avoir une réponse.

- Partit.

Non elle ne pouvait pas être partit. Elle ne pouvait pas m’avoir laissé comme ça sans réponse. Et qu’entendais cette voisine en disant « partit » ? Je décidai de lui demander :      

- Comment ça partit ?

- Elle a pris ses deux jambes et à quitter son appartement.

- Alors vous vous êtes amie avec Sarah.

- Bravo ! Qu’elle déduction ! Et oui elle m’a parlez un peu de vous, le chanteur capricieux c’est ça ?

- C’est ça. Répondis-je blaser. Elle est partit ou enfin ?

- En vacances

- En vacance ? Mais où ?

- Mais je n'en sais rien moi elle m’a juste dit qu'elle avait besoin de respirer, et qu’il fallait qu’elle parte loin d’ici.

- Oh ce n'est pas vrai, il fallait que je lui parle. 

Elle resta stoïque en tenant fermement la porte, son regard menacent me disais de partir d’ici  je dis alors:

- Je m’en vais o revoir.

- Ok je lui dirais que tu es passé. Dit-elle en commençant à fermer la porte mais je la retenue en disant :

- Non ne fait pas ça.

- Pourquoi ?

- Car elle mérite mieux.

- Mieux ?

- Mieux que cette vie que je peux lui offrir.

Elle me regarda, ma réaction restait incomprise au fond d’elle, mais moi j’avais réalisé, qu’elle pouvait avoir tellement mieux que moi, que cette vie,  et je ne voulais pas lui enlever cette chance.

- Ok ! Me répondait-elle brusquement. 

Je sortis dépiter, sans aucun espoir qu’elle revienne à moi, la dernière chose que je pouvais faire pour elle c’était de ne plus lui imposer cette vie et je comptais bien faire cette dernière chose pour elle-même si tout ça était très dur pour moi.  Tout ce que je voulais c’était son bonheur.

--Point de vue de Sarah--

Eclipse de sept jours.

Je rentrais dans mon appartement tel une tornade et commençais à récupérer quelques une de mes affaires. Ma voisine en trouva la porte et dit:

- Sarah ?

- Entre ! Criais-je.

Elle s’approchait de ma chambre ou j'étais placer. En arrivant, et en me voyant prendre des habits et les balancer dans mon sac elle me dit, surprise:

- Tu fais quoi ?

- Je fais mon sac ça ne se voit pas ?


- Mais pourquoi tu fais ton sac ? Tu ne reviens pas de « vacances »

- Mais parce que je pars.

- Mais où enfin ?!

- Loin d'ici. Une amie peut m'héberger quelque temps,  je vais y aller.

- Et tes études ?

- J'ai été prise à l'université tout près. J'irais.

La tristesse se lisait sur son regard, elle paraissait étonner mais en même temps, c’était comme si au fond elle savait que j’allais partir. C’était tellement étrange.

- Et tu y reste longtemps ?

- Le temps qu'il faudra.

Je saisi mon sac et commençais à partir de l'appartement. Ma voisine, Marie, qui me suivait de près me retenu en me disant:

- Tu me donneras des nouvelles hein ?

- Bien sûr. Dis-je en la serrant dans mes bras.

- Tu vas me manquer. 

- Toi aussi.

Et je partis ...

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