Chapitre 1, part 2

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Depuis maintenant une vingtaine de minute, le seigneur Ahmad essayais de retenir son altesse dans ses salons avec des danseur, des danseuses, les plats les plus délicieux possible, il lui avait même présenté sa fille -sa plus belle fille- comme éventuelle 14 ème épouse mais rien n'y faisait. Le prince voulais partir. Il se leva donc, en plein milieu de la réception d'accueil, alors que les plats venait tout juste d'être servi, et parti. D'un claquement de doigt il appela a son côté un de ses serviteur qui se mit à lui parler à demi voix.Immédiatement le grand Ahmad reconnu le-dit servant : c'était à lui qu'il avait fait visiter secrètement le palais pour qu'il puisse guider son altesse vers les cabinet, ou sa chambre, si l'envie l'en prenait. Mais il ne pensais pas que l'envie en question le prendrais maintenant !

" - Votre grandeur, pourriez vous rester juste un instant ? Mes cuisinier vienne de finir les pâtisseries : ce sont des recette que j'ai fait venir d'Alger spécialement.

- Je connais bien Alger, fit le prince d'un ton ennuyé. Si vous voulez bien m'excusez, j'ai fait une longue route pour venir ici et je veut me reposer au calme dans mes appartement. Nous n'avons cas ... remettre à plus tard cette petite réception."

D'un geste de la main, comme s'il chassait les mouches, il éloigna tout refus potentiel. Le fil cadet de l'empereur avait décidément un sale caractère : sans ce soucier du politiquement correcte il se tenait ici sans doute comme chez lui. Il était là en visite politique, pas pour la courtoisie, mais ça il ne semblait n'en avoir que faire. Peut lui importait les denrée périssable qu'on lui donnait et qui ce soir serais toutes bonne à jeter, il avait décider d'aller faire une sieste, son altesse ferais donc une sieste. Cela n'aurais pas fait monter la tension de son hôte si ce dernier ne savais pas une chose : les esclaves étaient encore partout dans les pièces officielle du palais ! Il était impossible qu'ils aient déjà finit de préparer la chambre du prince, ils devaient se trouver à l'intérieur et ... Oh ciel, tout puissant Allah, Ahmad n'osait pas imaginer la disgrâce si le prince voyait un de ces immondes esclave. Shapour, fil cadet de Mehmet Le tout puissant, grand souverain du tout puissant empire Ottoman et maître incontesté du commerce en méditerranée ainsi qu'en Orient, celui là même qui se trouvait troisième sur la liste des héritier à ce prestigieux trône, était connu dans tous l'empire pour son faste et son désire intarissable de collectionner les plus belles oeuvre que l'Islam ait porter. Un hôte d'une telle prestance, d'une telle exigence, ne pouvais se résoudre à voir un esclave ratatiné comme un abricot sec, à demi nu, et ceux dans une chambre à demi-sale ! Si cela venait à arriver il ce verrais couvert de honte, obliger de lui offrir son palais en Perse pour compensé cette délicate situation. Alors autant pour garder son statut que son honneur, Ahmad tenta encore et encore de retenir le prince.

" - Voulez vous prendre un bain ? Les hammam doivent être chaud, et les saunas près à vous accueillir.

- Non merci, moi et ma caravane avons fait longue route. Pour l'instant dormir suffira.

- Vous voulez peut être que je vous présente une de nos danseuse de tout à l'heure ? J'ai aussi de jeunes vierges parmi mes employé et ...

- Si vous croyez que je me contente de ces fausses beauté, cracha le prince sans même se retourner, vous vous fourvoyer. Je préfère encore l'abstinence que de caresser un corps qui me déplais. N'est ce pas Jamdhid ?"

Ledit Jamshid hocha vivement la tête en continuant de jouer avec un boulier. Il faisait cela depuis le son arrivé sans que personne ne comprenne pourquoi. Plus important, personne ne s'en souciait : le prince était là et le satisfaire était capitale pour rester un poste de commerce important de l'empire. Hors hélas, pour l'instant l'affaire était mal engager.

" - Vous collectionner les jolies choses n'est-ce-pas ?!"

Cette fois sa majesté se retourna, intrigué. Ahmad soupira, il avait piquer sa curiosité, et attirer l'attention d'un tel désinvolte était bon signe, très bon signe. Cependant il venait de jouer sa dernière carte. Ça allait être dur de gagner du temps pour que les esclaves déguerpissent. Ils n'auraient jamais fini, comment auraient ils put tout laver et tout parfumer, tout remettre bien droit et en plus apporter les sucrerie en si peut de temps. Non. S'en était fini. Il fallait alors retarder l'inévitable, juste encore un instant.

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