Chapitre 4

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On avait décidé avec Gidéon d'annoncer ma grossesse demain devant toute la famille. Je sentais qu'une grosse dispute familiale bien chiante, bourrée de reproches allait éclater. Du coup on avait choisi de prévenir toute la famille chez Lady Arista pour l'heure de thé.

   Il était 17 :00 et tout le monde était là même ceux que je n'avais pas envie de voir comme Charlotte et tante Glenda. Je pris une grande inspiration et décidai de l'annoncer en douceur sinon on aurait droit à une crise cardiaque de tante Glenda.

«  Alors... Voilà comment dire. Commençai-je un peu embêtée je ne savais pas comment ils allaient réagir. Gidéon et moi on a quelque chose à vous annoncer à propos de mon évanouissement d'hier. Gidéon s'approcha de moi pour entrelacer nos doigts pour me donner du courage. Je vis Charlotte contracter sa mâchoire, elle m'en voulait toujours de sortir avec Gidéon. Pourtant je n'y étais pour rien, on ne contrôlait pas ses émotions.

-          C'est si grave que ça ? demanda Lady Arista

-          En fait, pas vraiment. Gwen est enceinte, expliqua Gidéon d'une manière brut, et c'est pour ça qu'elle s'est évanouie hier durant le repas.

-          Tu vois, Grace c'est encore une preuve qui nous prouve que tu élèves mal tes enfants ! Charlotte n'aurai jamais fait ça ! s'indigna tante Glenda

-          Gwendoline, tu es beaucoup trop jeune pour être mère ! s'exclama Lady Arista.

-          Pourquoi c'est toujours Gwen qui est fautive dans cette famille !! s'énerva Gidéon

-          Parce que c'est à cause d'elle qu'on a toujours des problèmes, énonça calmement Charlotte.

-          Ah oui, j'oubliais que Charlotte est parfaite. Elle n'a aucun défaut, c'est peut-être pour ça qu'elle se comporte comme la reine du monde, m'énervai-je

-          Gwen comment tu oses ? s'indigna Lady Arista

-          J'en ai marre que Charlotte ait tous les droits et que moi à chaque fois que je dis quelque chose de mal, on considère ça comme la fin du monde. Si vous compter passer le reste de la journée à vous plaindre au lieu de vous réjouir pour nous. Je ne vois pas pourquoi nous resterions ! m'exclamai-je à bout de souffle.

Au moment où l'on se retrouvait dehors, j'entendis les voix de Lady Arista et de Mom dire « Gwen, attends ! Reviens ! ». 

Désolé pour le retard j'avais le syndrome de la page blanche.

La ProphétieWhere stories live. Discover now