Leur première mission n'était pas de tout repos. Sa réussite en était imminente. Ils ont sauvé le monde ainsi que June.
Retournés en prison à leur activités, une seule personne n'avait pas réellement la tête à vivre de nouveau sans son être cher.
H...
Lui demande Celle-ci, interloquée, ses bras autour du coup de "monsieur le roi de Gotham"
"Tes baisers me manquent, Harley."
Lui dit Joker, le visage crispé, maculé de poussière noire, de façon dérisoire.
"Vraiment ? "
Demande Harley, des frissons lui parcourant son corps de déesse.
"Oui. Embrasse-moi. Embrasse-moi poupée, montre-moi à quel point tu m'aimes...."
Sous ses airs sensibles et souffreteux, Joker cachait bien son jeu. Ses mains maculées de suie, caressèrent soudainement les pommettes de sa poupée. Sa poupée qui de façon charnelle, creusa au fin fond de ses lèvres, une quelconque preuve d'amour.
"Ça t'as plu ? Poussin !"
Demande-t-elle le regard fou et empli de folie.
"Oui, j'ai beaucoup aimé."
Déclara le Joker qui, d'un seul coup, poussa Harley de son pied, contre la rambarde. Harley qui faillit tomber mais, J l'A saisit de justesse par le cou, puis, colla son nez contre le sien.
"Tu n'est plus que mienne tu m'entends ?"
"Oui. Oui je t'entends poussin."
Dit Harley encore et toujours aveuglée de son amour pour lui. Il était un homme cruel, au charme vicieux, et pourtant, il aurait pu ne pas être la prunelle de ses yeux. Ils étaient la, peau contre peau, à s'observer l'un et l'autre. Mais, d'un seul coup, la rambarde céda sous l'effet du feu de la veille.
"Aaaaah ! Poussin !!"
Hurlait-elle dans sa chute.
"Poupée ! "
Hurla le Joker, qui, prit d'un grand désarroi, observa la scène prêt à la rejoindre en cas de mort subite. Mais une ombre étrange.... Apparut en bas de l'immeuble, saisissant la silhouette bien dessinée dans ses bras, avant de ne disparaître dans cette nuée de poussière noire accumulée.
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
Face à ce spectacle, Joker laissa échapper un énorme grognement de ses maigres tripes, et, plus hors de lui que jamais, se rua sur les étagères et meubles, renversant au passage objets précieux et plans de tueries collectifs. Mais un seul objet à terre attira son attention. Un cadre la représentant elle, sa poupée. Cette fille pour qui il avait cet amour fou qu'il n'arrivait à libérer. Enfermé dans sa nature méprisante et profonde. Lui dire ne serait-ce "je t'aime." Lui était totalement impossible, puisqu'il n'avait jamais connu l'amour avant elle. J, scruta le cadre brisé en deux, en sortit la belle photo d'Harley, toute souriante :
