Une mauvaise journée

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Toute la nuit, je n’avais pas réussie à fermer l’œil, j’étais plus fatiguer que jamais. Et bien sûr, aujourd’hui était l’un de mes journées les plus charger de mon emploi du temps. Mes yeux noisette, était rouge de fatigue.

Mais il fallait que je me dépêche pour ne pas arriver en retard. Je luttais désespérément contre la fatigue, tout le long du chemin de l’université. Je commençais par un cour économie. Qu’elle belle façon de commencer la journée ! Déduis-je ironiquement. 

Je me rendais donc à mon premier cour, accueillie, par ma meilleure amie, Lindsay.

- Sarah ! Tu ne sais pas ce qui c’est passer hier !

- Non, mais je sens que je ne vais pas tarder à le savoir.

- Oh ! Mais tu as l’air exténué ! Tu as dormi cette nuit ?

- Pas vraiment …

- Mais pourquoi ?

- J’ai été malade la moitié de la nuit, mais ça va mieux là.

- Oui effectivement, tu as juste l’air de ne pas avoir dormis depuis 4 jours mais tout va bien.

- Ça se voit tant que ça ?

- Oh que  oui !                                                                                                         

- Bon font que l’on se dépêche sinon nous allons être en retard à notre cour d’éco.

- Oui aller viens.

Nous, nous installons dans l’amphithéâtre, Lindsay et moi, puis mon meilleur ami, Matthew, viens nous rejoindre. Il était du même âge que moi, 20 ans, il avait les cheveux brun et les yeux bleu, il était toujours serviable, et  très compréhensible, en bref, juste génial. Tout en arrivant il disait :

- Ca va les filles ?

- Super, et toi ? Répondit Lindsay.

- Super. Par contre sa a l’air d’aller moins bien pour toi Sarah.

- Je n’ai pas beaucoup dormis c’est tout.

- Pas beaucoup ? Pas du tout tu veux dire ?

- Oui si tu veux … 

C’est à ce moment que notre prof, débarqua, ce prof étais vraiment spéciale, mais vraiment. Il donnait toujours cette impression que tout va mal, ajouter à cela, je ne l’avais jamais vue sourire, ne serais se une fois. Il était, d’une arrogance, et brutalité, incompréhensible.  

Cela faisait maintenant, près d’une heure que nous étions dans son cour et ma fatigue ce faisait de plus en plus sentir. Je finis, par m’endormir quelques secondes quand le prof me réveilla brutalement.

- Mademoiselle Watson ? Vous vous croyez ou la ? Vous n’êtes pas là pour chauffez la chaise. 

- Je suis désolé je …

- Taisez-vous ! Je n’ai pas besoin de vos excuses ! Venez me voir après le cour.

Et il continua sont cour, dans lequel, je m’efforçais de garder toute mon attention, pour l’heure restante. A la fin de l’heure je me dirigeais vers son bureau et vue ses grand yeux, se diriger vers moi. Une fois arrivé au niveau du bureau, il commença son discours, habituel. Non que je sois habitué à l’entendre, mais il le répétait à chaque élève qui faisait une "erreur" dans son cour. Je m’appétais donc à l’écouter, à me faire la moral :

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