Ma Vie Dans Le Ghetto

chapitre 6

Je suis resté plus de dix minutes a réfléchir sur ce qu'elle m'avait dit en ce moment là j'étais loin de penser qu'elle me faisait des a Dieu. A mon arrivée a la maison il y avait beaucoup de monde ma tante assise sur le sol criée elle était inconsable je l'a regarde surprise par le cinéma qu'elle faisait pour se faire remarqué ma mère elle était assise sur un coin de la maison avec ses amies. Je me suis dirigé vers ma chambre pour prié dans rakâ ma grand mère était une femme très pieuse qui nous incité a la prière quotidienne. Assise sur la natte je n'ai pas pu retenir mes larmes son départ a été si soudaine mais ses derniers paroles m'armés de force et de courage.
Le lendemain,les funérailles ont été organisé et c'est là qu'on peut remarqué la cruoté de certaine personne vivant dans ce monde le mari de ma mère ainsi que certain personne a qui on n'avait demandé de l'aide pour les frais hospitalière comme un des frères de grand mère et qui avaient déclaré ne pas en disposé arrivèrent avec leur participation pour les funérailles.
Je n'ai cessé de regardé la foule et d'écouter le témoignage des gens je ne pouvais pas croire que grand mère Seynabou n'était plus de ce monde.
Les gens venaient de partout pour présente les condoléances(siguil digualé)et donner les étrennes(diakal) ils y avaient un allé et retour incessant j'étais assise près de ma tante et de ma mère Aïcha était près de moi c'est dans les moments difficiles de l'on connaît la grandeur d'une amitié cette fille dans aucun étape de nos vies on ne sait séparé.

Ma tante n'arrêtait pas de crier des larmes de crocodile les gens pouvaient ne pas comprendre mais moi Fatima je sais bien ce qui a provoqué la mort de la femme de ma vie.

Aujourd'hui c'est le huitième jour du décès de grand mère. Le matin des vieux sont venus lire le coran pour le repos de son âme (wathié khamille) puis nous avons distribuer de la bouillie.
Le soir assise devant la porte de la maison maman est venue me rejoindre
Maman Coumba: ma chérie s'il te plait nous pouvons parlé

Moi : oui de quoi encore maman

Maman Coumba : Fatima que va tu faire maintenant tu veux venir vivre avec moi ou resté ici avec ta tante

Moi : quoi venir vivre avec toi ton mari ne m'aime pas et tu voudrais que je vienne vivre avec toi. Moi aujourd'hui je considère que j'ai plus de famille la seule famille que j'ai c'est Aicha et sa famille je ne veux pas venir avec toi.

Maman Coumba : D'accord je respecte ta décision et je te demande de m'appeler en cas de besoins ma chérie je serais là pour toi

Moi: si j'ai des problèmes ne t'inquiète pas je te contacterais mais j'espère juste que je réussirai ma vie sans toi,sans ma tante ni mes oncles. Je me batterais pour réussir
Finis je par lui dire après lui dire en lui tournant le dos.

Je sentis en moi ce jour là que je devais me battre a tout pris pour réussir dans la vie. J'avais certes peur pour mon avenir mais j'avais pitié de ma tante et de mes oncles eux qui n'ont jamais connu de souffrance dans leur vie cela ne m'étonnerait même pas si on me disait qu'ils ne savaient pas le prix d'un kilo de riz encore moins le prix d'un morceau de savon. Je ne sais pas si ils sont conscient que leur train de vie va changer à partir de maintenant et que tôt ou tard ils vont finir par payer la souffrance qu'ils ont fait subir à leur maman. Je n'oublierai jamais que c'est à cause d'eux que j'ai perdu la femme de ma vie ils ont les seules responsables de ma souffrance.

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J'étais assise sur la rue entrain de réfléchir sur ce que allez devenir ma vie. Chaque jour je ressens de plus en plus un grande vide dans mon coeur je pense aussi a Moussa si seulement il était la pourquoi je n'ai pas de ses nouvelles je me demande s'il va bien.

Tima tu vas bien ta le visage pâle qu'est-ce qui t'arrive .

Moi: je pensais a grand mère et a Moussa aussi. Que vais je devenir qui va m'aider a terminé mes études

Aïcha : As tu penser a demander de l'aide a tes parents a ton père ou a ta mère ils pourront

Moi : parlez a mes parents!!!

Vos avis je m'excuse du retards j'ai des contre temps