Appelez-moi Blue [ PAUSE ]

Chapitre 2: Anna ✍

Salut alors déjà désolé je pensais avoir publié le chapitre en entier et je viens seulement de me rendre compte que sa avait beugé et que sa n'avait pas enregistré les modifications que j'avais faites donc bon je suis dégoutée mais voilà la suite :) 

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*Blue à sa rencontre avec Anna 

Un jour je me suis arrêté dans un village du nom de Jorly, c'était un petit village à l'allure pittoresque bref parfait si on veut se cacher.
J'y avais garé ma moto que j'avais volé quelques heures plutôt dans une station essence. J'avais demandé au gars de m'emmené gentiment et il a dit non résultat je doute qu'il ai un jour des descendants. 

Une fois dans le village, je suis  à allée dans le centre ville. Je suis rentrée dans un magasin qui vendait un peu de tout et j'ai fait connaissance avec la fille au comptoir, elle s'appelait Anna, elle était brune avec les yeux bruns.

Et elle m'a sourit chaleureusement, cela faisait si longtemps que je n'avais pas vu de sourire sincère. Je lui demanda donc si elle connaissait un petit endroit tranquille dans les environs car je comptais m'installer pour quelques temps. Elle m'a alors indiquée une maison à côté de chez elle,  seulement elle était en ruine alors on est repartie au magasin pour acheter de la peinture et de quoi réparer les planches au sol bref de quoi rénové la maison. On a passé l'après-midi à peindre et on a finit par devenir très proches.
Elle était tellement heureuse que je m'installe qu'elle m'a sauté dans les bras et un des pots de peinture est tombé et ont a dû tout nettoyé, toujours en rigolant.
Je lui ai donc demandé pourquoi elle était tellement excité et elle m'avait répondu que les filles de son âge qui était dans le village était très superficielle et ça elle détestait alors avoir une amie qui la comprend et avec qui elle pourrait parler c'était une sorte de miracle.

Un jour alors que j'étais en route pour passée l'après-midi avec Anna, j'ai entendu un bruit de verre cassé qui venait de sa chambre et je m'étais précipité vers la fenêtre où j'avais vu un homme la plaquer sur un mur et qui avait commencé à l'étrangler !!

Ma meilleure amie était en train de se faire tuer sous mes yeux et je restait là statique, pétrifiée par la scène qui se jouait devant moi. J'ai donc sortis mon pistolet que je cachais sous ma veste.
Je visais​ l'homme qui l'avait à présent lâché et qui lui attachait les poignets avec du scotch, je comptais lui tirer dans le ventre mais lorsque je vis qui c'était je ne pus m'empêcher de baisser l'arme vers sa jambe dans laquelle je tira à deux reprises de façon à ce qu'il ne puisse pas nous suivre. Comment pouvait-il être là ? Comment m'avait-il retrouvée ? Mais si il est là alors Richard aussi, il faut qu je fuis mais avant je dois mettre Anna à l'abri.

Je fis sortir Anna de sa chambre et l'emmenait​ chez moi, ce n'était qu'à 5 minutes à pied.

Je pris mon sac de secours qui  était toujours prêt dans le cas où ce genre de situation arriverai et je lui laissai une lettre dans laquelle je lui expliquai la situation. J'avais écris cette lettre peu de temps après mon arrivée dans le cas où ils me retrouverais, j'espérais ne jamais avoir à lui donner seulement le destin n'était visiblement pas de cet avis.

Je retournais ensuite au lieu de l'attaque pour voir que l'homme s'était relevé, il fallait que je l'éloigne d'Anna.
J'attirais l'attention de l'homme ou plutôt de Cameron... Avant de courir vers l'arrêt de bus qui pouvait me sauver. Le bus n'était pas là, je n'ai pas le choix. J'enfourchais ma moto, Cameron ainsi que les hommes qui était avec lui montèrent dans des vannes et se mirent à ma poursuite. 

Après plusieurs heures de poursuite interminable remplis de coups de feu, j'arrivais à les semer et je m'arrêtais dans une station essence où je laissai la moto et me fis une teinture rousse...
Anna devrait être en sécurité à présent.

C'est à  ce moment là je me suis promis de ne plus jamais avoir d'amis trop proches pour éviter de les mettre en danger à leur tour. Et c'est ainsi que je suis devenue encore plus distante et froide avec les autres que je ne l'était avant.